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sub dio

  • 1 sub dio

    или sub divo, лат.

    Large English-Russian phrasebook > sub dio

  • 2 Sub dio

    Latin Quotes (Latin to English) > Sub dio

  • 3 sub divo

    Large English-Russian phrasebook > sub divo

  • 4 sub

    [st1]1 [-] sŭb (subs), prép.: a - avec abl. (lieu où l'on est; idée de sujétion, de dépendance, de dissimulation; valeur temporelle): sous, au-dessous de, au fond de, aux environs de; immédiatement après, au moment de; un peu avant.    - sub pectore: au fond du coeur.    - sub antro: dans la caverne.    - sub urbe: aux environs de la ville, dans le voisinage de la ville; au-dessous de la ville.    - sub corona vendere: vendre comme prisonniers de guerre (ils étaient exposés, couronnés de fleurs).    - sub pellibus: sous des peaux, sous la tente.    - sub ictu teli: à portée de trait.    - sub nomine (sub specie): sous le prétexte (de).    - sub hoc casu: aussitôt après ce malheur.    - sub ipsa profectione: au moment même du départ.    - sub die: de jour.    - sub nocte: de nuit. b - avec acc. (lieu vers lequel on se dirige; valeur temporelle; idée de sujétion): sous, au pied de, près de; aux environs de, un peu avant, un peu après, aussitôt après; sous la domination de.    - sub noctem: à l'approche de la nuit.    - sub jugum mittere: envoyer sous le joug.    - sub galli cantum: dès le chant du coq.    - sub alicujus imperium cadere: tomber sous l'autorité de qqn.    - sub adventum triumvirorum: immédiatement avant l'arrivée des triumvirs.    - sub idem tempus: vers le même temps. [st1]2 [-] sub- (sus-, suc-, suf-, sug-, sum-, sup-, sur-, su-), préfixes: a - dessous:    - sub-jicere: mettre dessous, soumettre. b - par dessous, de dessous:    - sub-trahere: tirer par dessous. c - en secret:    - sub-ripere (sub + rapere): soustraire, dérober. d - à la place de:    - suc-cedere: succéder.    - sub-sortiri: tirer au sort de nouveaux noms. e - de bas en haut:    - sub-spicere: regarder de bas en haut. f - un peu:    - sub-similis: assez semblable.
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    [st1]1 [-] sŭb (subs), prép.: a - avec abl. (lieu où l'on est; idée de sujétion, de dépendance, de dissimulation; valeur temporelle): sous, au-dessous de, au fond de, aux environs de; immédiatement après, au moment de; un peu avant.    - sub pectore: au fond du coeur.    - sub antro: dans la caverne.    - sub urbe: aux environs de la ville, dans le voisinage de la ville; au-dessous de la ville.    - sub corona vendere: vendre comme prisonniers de guerre (ils étaient exposés, couronnés de fleurs).    - sub pellibus: sous des peaux, sous la tente.    - sub ictu teli: à portée de trait.    - sub nomine (sub specie): sous le prétexte (de).    - sub hoc casu: aussitôt après ce malheur.    - sub ipsa profectione: au moment même du départ.    - sub die: de jour.    - sub nocte: de nuit. b - avec acc. (lieu vers lequel on se dirige; valeur temporelle; idée de sujétion): sous, au pied de, près de; aux environs de, un peu avant, un peu après, aussitôt après; sous la domination de.    - sub noctem: à l'approche de la nuit.    - sub jugum mittere: envoyer sous le joug.    - sub galli cantum: dès le chant du coq.    - sub alicujus imperium cadere: tomber sous l'autorité de qqn.    - sub adventum triumvirorum: immédiatement avant l'arrivée des triumvirs.    - sub idem tempus: vers le même temps. [st1]2 [-] sub- (sus-, suc-, suf-, sug-, sum-, sup-, sur-, su-), préfixes: a - dessous:    - sub-jicere: mettre dessous, soumettre. b - par dessous, de dessous:    - sub-trahere: tirer par dessous. c - en secret:    - sub-ripere (sub + rapere): soustraire, dérober. d - à la place de:    - suc-cedere: succéder.    - sub-sortiri: tirer au sort de nouveaux noms. e - de bas en haut:    - sub-spicere: regarder de bas en haut. f - un peu:    - sub-similis: assez semblable.
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        Sub, Ablatiuo iunctum. Plautus, Sub vestimentis secum habebant retia. Soubs leurs vestements.
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        Sub Alexandro. Quintil. Du temps d'Alexandre.
    \
        Sub aduentum, pro In aduentu. Liu. Soubs le poinct qu'il arrivoit, Sur le temps qu'il devoit venir.
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        Sub conditione. Cic. Soubs condition, Par tel si, Par telle condition.
    \
        Sub dio, siue diuo. Varro. A l'air.
    \
        Sub diuo carpere somnos. Virgil. Dormir soubs le ciel à l'air, et à descouvert.
    \
        Sub exemplo. Plin. iunior. En prenant exemple à quelque chose.
    \
        Sub exitu vitae. Sueton. A la fin de ses jours, Un peu devant qu'il mourut.
    \
        Sub ictu rem aliquam habere. Seneca. En estre si pres, qu'on la puisse attoucher.
    \
        Sub ipsa die. Plin. Au poinct du jour.
    \
        Sub manu tabellarios habere. Plancus Ciceroni. Pres et à main.
    \
        Hoc succedit sub manus negotium. Plaut. Se porte fort bien, Se laisse bien manier.
    \
        Tanto sub oculis accepto detrimento. Caes. En sa presence, Devant ses yeulx.
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        Sub poena capitis. Suet. Sur peine de la teste.
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        Sub somno sanescere. Cels. Se guarir en dormant.
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        Sub frigido sudore mori. Cels. Mourir avec une sueur froide.
    \
        Sub specie pacis. Liu. Soubs couleur ou espece de paix.
    \
        Sub vmbra foederis. Liu. Soubs ombre d'alliance.
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        Sub vrbe est agelli paululum. Terent. Aupres de la ville.
    \
        Sub, Accusatiuo fere iungitur, quum tempus significatur: vt Sub tempus, et Sub idem tempus. Suet. Environ ce temps, En ce mesme temps.
    \
        Sub finem. Liuius. Vers la fin.
    \
        Sub horam pugnae. Suet. A l'heure du combat.
    \
        Sub lucem. Virgil. Liu. Au poinct du jour.
    \
        Sub lucis ortum. Liu. Quand le jour commence à poindre.
    \
        Sub noctem. Caesar. Sur la nuict.
    \
        Sub vesperum. Caes. Sur le vespre.
    \
        Sub eas literas statim recitatae sunt tuae. Cic. Incontinent apres ces lettres.
    \
        Non statim sub mentionem. Caelius ad Ciceronem. Non point incontinent que m'en aurez parlé.
    \
        Sub diem aliquid quaerere: vt, Qui patrimonium non pararunt, sub diem quaerunt. Quintil. A l'heure qu'ils en ont à faire. B.
    \
        Postes sub ipsos. Virgil. Devant.
    \
        Sub ingenti lustrat dum singula templo. Virgil. Dedens le temple.
    \
        Exercet sub sole labor. Virgil. Au soleil.
    \
        Sub nocte silenti. Virgil. De nuict, Par nuict.

    Dictionarium latinogallicum > sub

  • 5 dio za uvođenje podsustava osnovne postaje

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    • base station sub-system management post

    Hrvatski-Engleski rječnik > dio za uvođenje podsustava osnovne postaje

  • 6 base station sub-system management post

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    dio za uvođenje podsustava osnovne postaje
    protokol podsustava osnovne postaje

    English-Croatian dictionary > base station sub-system management post

  • 7 dium

    [st1]1 [-] dĭum, ĭi, n. = divum.    - sub dio, Virg. Hor.: en plein air, sous le ciel, à la belle étoile. [st1]2 [-] Dīum (Dīŏn), ii, n.: Dium (nom de plusieurs villes).
    * * *
    [st1]1 [-] dĭum, ĭi, n. = divum.    - sub dio, Virg. Hor.: en plein air, sous le ciel, à la belle étoile. [st1]2 [-] Dīum (Dīŏn), ii, n.: Dium (nom de plusieurs villes).
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        Dium, Substantiuum. L'air.
    \
        Sub dio agere. Horat. Estre à l'air, Estre à descouvert, et hors de la maison.
    \
        Sub dium rapere. Horat. Mettre en public.

    Dictionarium latinogallicum > dium

  • 8 dius [2]

    2. dīus, a, um, archaist., poet. u. nachkl. Nbf. v. divus (aus *divios = altind. divyás, griech. διος), göttlich, I) adi.: A) eig.: dius Fidius, s. Fidius. – B) übtr.: 1) edel, Casmilus, dius administer diis magnis, Varro LL. 7, 34: dia Camilla, Verg. Aen. 11, 657: Vok., o Romule, Romule die! Enn. ann. 111. – 2) göttlich groß, göttlich schön, dias in luminis oras exoritur, Lucr.: sententia dia Catonis, Hor.: dium profundum, Ov. – 3) himmlisch, omnia dia et marina et terrea, Prud. cath. 12, 90 ed. Obbar. (Dressel diva). – / Nbf. deius, wov. subst. fem. Deia, Corp. inscr. Lat. 9, 2670. – II) subst., dīum, ī, n., das Weltall, Fest. p. 285 (a), 27. – u. sub dio u. archaist. sub diu, unter freiem Himmel, sub dio, Col. 12, 12, 1: sub diu, Plaut, most. 765 zw. Lucr. 4, 209 (211, dazu Lachm.). Vitr. 5, 9, 5 R.u.ö. (s. Ind. verbb.). Plin. 21, 84 D.; klassisch sub divo, s. dīvus.

    lateinisch-deutsches > dius [2]

  • 9 dius

    1. diūs, Adv., s. 1. diu u. 2. diu no. 2.
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    2. dīus, a, um, archaist., poet. u. nachkl. Nbf. v. divus (aus *divios = altind. divyás, griech. διος), göttlich, I) adi.: A) eig.: dius Fidius, s. Fidius. – B) übtr.: 1) edel, Casmilus, dius administer diis magnis, Varro LL. 7, 34: dia Camilla, Verg. Aen. 11, 657: Vok., o Romule, Romule die! Enn. ann. 111. – 2) göttlich groß, göttlich schön, dias in luminis oras exoritur, Lucr.: sententia dia Catonis, Hor.: dium profundum, Ov. – 3) himmlisch, omnia dia et marina et terrea, Prud. cath. 12, 90 ed. Obbar. (Dressel diva). – Nbf. deius, wov. subst. fem. Deia, Corp. inscr. Lat. 9, 2670. – II) subst., dīum, ī, n., das Weltall, Fest. p. 285 (a), 27. – u. sub dio u. archaist. sub diu, unter freiem Himmel, sub dio, Col. 12, 12, 1: sub diu, Plaut, most. 765 zw. Lucr. 4, 209 (211, dazu Lachm.). Vitr. 5, 9, 5 R.u.ö. (s. Ind. verbb.). Plin. 21, 84 D.; klassisch sub divo, s. divus.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > dius

  • 10 carpo

    carpo, ĕre, carpsi, carptum - tr. - [st2]1 [-] arracher, détacher en arrachant, déchirer, lacérer. [st2]2 [-] cueillir, recueillir, récolter. [st2]3 [-] paître, brouter, manger, butiner, goûter, savourer. [st2]4 [-] harceler, tourmenter, inquiéter, affaiblir. [st2]5 [-] mettre en pièces, diviser. [st2]6 [-] [déchirer la réputation], calomnier, avilir, critiquer, censurer, blâmer. [st2]7 [-] parcourir, suivre (chemin). [st2]8 [-] faire usage de, passer (sa vie...), profiter de, jouir de (= fruor, capio).    - ab arbore flores carpere: cueillir les fleurs de l'arbre.    - herbam carpere: brouter l'herbe.    - carpe cibos digitis, Ov. A. A. 3, 755: mange avec les doigts.    - carpere auras vitales: respirer, vivre.    - carpere novissimum agmen: harceler l’arrière-garde.    - solane perpetua maerens carpere juventa, Virg. En. 4: vas-tu, profondément affligée, consumer ta jeunesse dans une perpétuelle solitude?    - lana carpta: laine cardée.    - dictatorem sermonibus carpere, Liv. 7, 12, 12: critiquer le dictateur.    - nec carpsere jecur volucres, Ov. M. 10, 43: les oiseaux ne mangèrent plus le foie.    - pede viam carpere: parcourir une route à pied.    - supremum carpere iter parati, Hor. C. 2: prêts à prendre le chemin suprême (= prêts à mourir).    - carpere prata, Virg.: traverser les prés.    - carpe diem, quam minimum credula postero, Hor. O. 1: (Leuconoé) cueille le jour, et compte le moins possible sur le lendemain.    - carpere sub dio somnos, Virg. G. 3, 435: profiter du sommeil en plein air.
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    carpo, ĕre, carpsi, carptum - tr. - [st2]1 [-] arracher, détacher en arrachant, déchirer, lacérer. [st2]2 [-] cueillir, recueillir, récolter. [st2]3 [-] paître, brouter, manger, butiner, goûter, savourer. [st2]4 [-] harceler, tourmenter, inquiéter, affaiblir. [st2]5 [-] mettre en pièces, diviser. [st2]6 [-] [déchirer la réputation], calomnier, avilir, critiquer, censurer, blâmer. [st2]7 [-] parcourir, suivre (chemin). [st2]8 [-] faire usage de, passer (sa vie...), profiter de, jouir de (= fruor, capio).    - ab arbore flores carpere: cueillir les fleurs de l'arbre.    - herbam carpere: brouter l'herbe.    - carpe cibos digitis, Ov. A. A. 3, 755: mange avec les doigts.    - carpere auras vitales: respirer, vivre.    - carpere novissimum agmen: harceler l’arrière-garde.    - solane perpetua maerens carpere juventa, Virg. En. 4: vas-tu, profondément affligée, consumer ta jeunesse dans une perpétuelle solitude?    - lana carpta: laine cardée.    - dictatorem sermonibus carpere, Liv. 7, 12, 12: critiquer le dictateur.    - nec carpsere jecur volucres, Ov. M. 10, 43: les oiseaux ne mangèrent plus le foie.    - pede viam carpere: parcourir une route à pied.    - supremum carpere iter parati, Hor. C. 2: prêts à prendre le chemin suprême (= prêts à mourir).    - carpere prata, Virg.: traverser les prés.    - carpe diem, quam minimum credula postero, Hor. O. 1: (Leuconoé) cueille le jour, et compte le moins possible sur le lendemain.    - carpere sub dio somnos, Virg. G. 3, 435: profiter du sommeil en plein air.
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        Carpo, carpis, carpsi, carptum, carpere. Virgil. Cueillir doulcement.
    \
        Flosculos orationis carpere. Cic. Cueillir.
    \
        Carpere, Accipere. vt Carpere quietem. Virg. Prendre son repos, Se reposer.
    \
        Aera carpere. Virgil. Prendre l'air.
    \
        Aera carpere alis. Ouid. Voler.
    \
        Cibum carpere. Varro. Manger, Prendre sa refection.
    \
        Cibos digitis carpere. Ouid. Prendre la viande aux doigts.
    \
        Dente carpere viscera alicuius. Ouid. Prendre aux dens, Mordre.
    \
        Carpere herbam oues dicuntur. Virg. Paistre, Brouter.
    \
        Ignauius carpere herbas. Virgil. Paistre laschement.
    \
        Gramina carpunt armenta. Virgil. Paissent l'herbe.
    \
        Anser vtilis non est locis consitis: quia quicquid tenerum contingere potest, carpit. Columel. Il broute, etc.
    \
        Carpere. Virgil. Passer legierement.
    \
        Fugam carpere. Sil. S'enfuir, Prendre la fuite.
    \
        Carpere prata fuga. Virgil. S'enfuir legierement parmi le prez.
    \
        Iter carpere. Martial. Cheminer.
    \
        Iter supremum carpere. Horat. Faire le dernier voyage, Mourir.
    \
        Viam carpere. Virgil. Cheminer, Aller son chemin.
    \
        Volatum carpere. Stat. Voler, Prendre son vol.
    \
        Carpere lanam, linum, etc. Virgil. Charpir, La tirer doulcement de la quenoille en filant.
    \
        Noctes carpere securas. Val. Flac. Dormir de nuict en seureté.
    \
        Oscula carpere. Ouid. Baiser.
    \
        Pecus carpere. Propert. Oster ou arracher la laine de dessus le dos, Plumer.
    \
        Pensum carpere. Horat. Filer.
    \
        Rura frigida carpere. Virgil. Aller aux champs, Mener les bestes aux champs.
    \
        Somnos carpere. Virgil. Dormir.
    \
        Carpere agmen, et similia. Liu. Surprendre et tuer par cy par là ceulx qui s'escartent et se separent de la grosse troupe et armee, Les prendre l'un aprés l'autre.
    \
        Carpere orationem membris minutioribus. Cic. La deviser par petites parcelles.
    \
        Carpere, Eligere. Terent. Vnum quicquid, quod quidem erit bellissimum, Carpam. Je prendray l'un aprés l'autre, le plus beau et le meilleur.
    \
        Carpere vires. Virgil. Blesser, Gaster, Attenuer, Diminuer.
    \
        Aluus, corpus ac vires carpit. Columel. Le flux de ventre amaigrist le corps, et debilite la force, Consume et mange, etc.
    \
        Forma carpitur suo spatio. Ouid. La beaulté se diminue par laps de temps.
    \
        Carpere faciem. Seruius. Deschirer le visage, Esgratigner.
    \
        Carpere aliquem. Ouid. Piller, Apovrir, Pilloter, Mettre en blanc, Le plumer.
    \
        Opes alicuius carpere. Ouid. L'apovrir, Luy oster ses biens, ou les diminuer.
    \
        Vitam carpere. Seneca. Oster la vie.
    \
        AEstu mens carpitur. Valer. Flac. L'esprit est vexé et travaillé de soulci.
    \
        Auro pectus carpitur. Propert. Est attenué et consumé d'avarice.
    \
        Igni caeco carpi. Virgil. Estre esprins d'amour.
    \
        Carpere. Cic. Reprendre, Accuser, Taxer, Blasmer.
    \
        Carpere. Frui. Persius, Carpamus dulcia. Faisons grand chere, Prenons, ou Donnons nous du bon temps.

    Dictionarium latinogallicum > carpo

  • 11 dium

    dīum *., ī n. [ dius ] арх. поэт.
    sub dio Col и арх. sub diu Pl, Lcrпод открытым небом

    Латинско-русский словарь > dium

  • 12 habeo

    habeo, uī, itum, ēre, das deutsche haben und halten, I) eig.: A) im engern Sinne: 1) an sich (in der Hand, am Halse usw.) haben = halten, führen, tragen, a) übh.: iaculum, quod manibus habemus, Ov.: coronam alteram in capite, alteram in collo, Cic.: anulum in digito, Ter.: fenum in cornu, Hor. (s. fēnum): vestis bona quaerit haberi, getragen zu werden, Ov. – v. Lebl., arma hic paries habebit, Hor.: nulla taberna meos habeat neque pila libellos, in keinem Buchladen, an keinem Pfeiler mögen meine Schriften feil hängen, Hor.: altera vestes ripa meas habuit, auf dem andern Ufer lagen meine Kleider, Ov. – b) als wesentlichen Bestandteil an sich haben, quae feminae duplices papillas habent, Cic. fr.: hos habuit vultus, Ov. – v. Lebl., pedum calidus pulvis vestigia habebat, Ov.: pars secreta domus tres habuit thalamos, Ov.: tunicae manicas habent, Verg.: tabulae habentes clavorum cacumina, Val. Max. – c) = führen, handhaben, tractantes ferrum et arma habentes parēre, Iustin.: nec immensa barbarorum scuta perinde haberi quam pila et gladios, Tac. – d) halten = hinhalten, dorsum ad lucem (gegen das L.), Augustin. conf. 4, 16.

    2) von Örtl. = in seinem Bereiche aufgenommen haben, umschließen, festgebannt halten, me confectum curis infelix habuit thalamus, Verg.: me quoque pontus haberet, Ov.: Tartara habent Pantoiden, Hor.

    3) von Schriften in bezug auf ihren Inhalt, wie haben = enthalten, nihil enim (epistula) habebat, quod non vel in contione recte legi posset, Cic.: editio habebit omnia, Quint.: quod nulla annalium memoria habeat, Liv.: pro C. Cornelio et Tito Annio Quintum Acilium et C. Herennium habent quidam annales, Liv.

    B) im weitern Sinne: 1) (wie εχειν), im Besitze-, in seiner Gewalt haben, a) = als Bewohner innehaben, bewohnen, Capuam, Liv.: silvas, Flor.: moenia, Verg.: urbem, Sall. Vgl. Korte Sall. Cat. 6, 1. – b) als Feind besetzt halten, hostis habet muros, Verg.: hostis habet portus, Val. Flacc. Vgl. Burmann Val. Flacc. 3, 45. – c) als Herrscher im Besitze haben, beherrschen (vgl. Duker Flor. 4, 2, 22. Korte Sall. Cat. 6, 1), urbem Romam a principio reges habuere, Tac.: Siciliam et Sardiniam per legatos, verwalten, Flor.: habeo, non habeor a Laide (εχω, ἀλλ᾽ ουκ εχομαι), v. Geliebten, Cic. – animus habet cuncta neque ipse habetur, Sall.: ventis aëra habendum permittere, zum Beherrschen überlassen, Ov. – d) wirklich im Besitze, in Händen, als Eigentum haben, α) = besitzen (während streng juristisch tenere = physisch besitzen, possidere = rechtlich besitzen, s. Florentin. dig. 46, 4, 18 tu meum habes, tenes, possides, u. bildl., Plin. ep. 1, 16, 1 totum me tenet, habet, possidet; u. korresp. mit possidere b. Phaedr. 4, 4, 10 sq.), gemmas, argentum, Hor.: vectigalia magna divitiasque, Hor.: honeste divitias, modeste opes, besitzen u. gebrauchen, einen edlen usw. Gebrauch machen von usw., Sall. u. Tac.: pretium habes, du hast deinen Lohn weg, Hor.: quod habet (Ggstz. quod ei deest), Sen.: me enim tabulas tuas habere (in Händen haben) et proferre oportuit, Cic. – ex animi sententia uxorem h., Cic.: quid mulieris uxorem habes? was hast du für ein Weibsbild zur Frau? Ter.: Roma poëtas habet, Hor. – absol. (wie εχειν) = Besitz ( Besitzungen) haben, ansässig sein, Vermögen haben, wohlhabend sein (vgl. Gräve u. Korte Cic. ep. 7, 29, 2. Drak. Sil. 5, 264. Burmann Phaedr. 3. prol. 21), habere in Bruttiis, Cic., in Veiente agro, Liv.: habet idem in nummis, habet in praediis urbanis, er hat etwas an barem Gelde, er hat einige Besitzungen bei der Stadt, Cic.: nos quod simus, quod habeamus, id omne abs te habere, Cur. in Cic. ep.: habendi cupiditas, Habsucht, Rutil. Lup.; dass. habendi amor, Verg. u.a.; u. habendi cupido, cura, studium, Plin. ep., Phaedr. u. Aur. Vict. (vgl. Drak. u. Burmann a. a. O.): dass. qui habet (der Reiche), ultro appetitur; qui est pauper, aspernatur, Nep. fr. 5, 4: u. habentes ( wie οἱ εχοντες) = die Wohlhabenden, Ggstz. non habentes (οἱ ουκ εχοντες) = die Armen, Lact. 5, 8, 7. – β) wie εχειν u. unser haben = in Besitz nehmen, erlangen, bekommen, anne habebit ariola? Dae. non feret, Plaut.: quam ille se habiturum non dubitabat, Nep. – γ) habere alqd sibi, etwas für sich haben = behalten (s. Matthiä Cic. Sull. 26), sibi hereditatem, Cic.: sibi haberent honores, sibi imperia, sibi provincias, Cic. – dah. die Ehescheidungsformel: res tuas tibi habeas od. habe od. habeto, behalte od. nimm deine Sachen für dich, Plaut. Amph. 928. Sen. suas. 1, 7; contr. 2, 5 (13), 9. Apul. met. 5, 26: istam suas res sibi habere iussit, heißt sie für sich geschieden leben, Cic. Phil. 2, 69: scherzh. übtr., apage sis amor; tuas tibi res habeto, wir sind geschiedene Leute, Plaut. trin. 267 L. – e) Tiere zur Zucht, Benutzung, zum Unterhalt usw. haben, halten (s. Burmann Phaedr. 3, 3, 4), pecus, Varro, Verg. u.a.: habens quidam pecora, ein Viehbesitzer, Viehzüchter, Phaedr.: canes potius acres paucos quam multos, Varro. – u. f) eine Person zu irgend einem Zwecke bei sich haben, domi divisores, Cic. ad Att. 1, 16, 12. – bes. alqam, Plaut. u.a.: quis heri habuit Chrysidem? Ter. Vgl. Westerhof Ter. Andr. 1, 1, 58. – g) übh. in seiner Gewalt haben, habesne hominem? hast du ihn (ertappt)? Ph. Quidni habeam! Ter.: u. bildl., habeo viros, ich habe sie (= ich kenne nun ihre Gesinnung), Phaedr.

    2) in irgend einer äußern Lage dauernd haben, halten, a) in seiner Umgebung, alqm secum, bei od. um sich haben, Nep.: alqm ad manum, bei der Hand (zu seinen Diensten) haben, Nep.: catervas flagitiosorum circum se, Sall.: in partibus Pallantem, auf seiner Seite haben, Tac. – b) an einem Orte usw. halten = bleiben-, stehen lassen, aegros in tenebris, Cels.: milites in stativis castris, Sall.: exercitum inter hiberna Romanorum, Sall.: pecora et armenta inter silvas, Iustin.: aquam caelestem sub dio in sole, Col.: bildl., pudicitiam in propatulo, öffentlich feilbieten, Sall.: arma procul, die W. fern halten = den Krieg vermeiden, Tac. – dah. c) mit dem Nbbgr. der gehemmten Bewegung, wie halten = festhalten, senatum in curia inclusum, eingeschlossen halten, Cic.: alqm in vinculis, in custodia, Sall.: aber auch in custodiam haberi, in Haft gebracht werden u. bleiben, Liv. u. Tac.: dah. haberi in Syria, in S. in Gewahrsam gehalten werden, Tac. – quae res eos in magno diuturnoque bello inter se habuit, verwickelt hielt, verwickelte, Sall.: semper eos in armis accolae Galli habebant, nötigten sie, immer unter den W. zu bleiben, Liv.

    3) refl., sich irgendwo gehaben = sich aufhalten, wohnen, quis istic habet? Plaut.: ubi hic Moschis habet? Afran. fr.: ubi nunc adulescens habet? Plaut.: in delubro, ubi aeditumus habere solet, Sacr. Arg. bei Varro LL. 5. § 50 u. 52: qui Syracusis habet, Plaut.: multi habent in praediis, quibus etc., Varro: qui in eo loco habebant, Dict.: praecipit fortunatorum habituram loco, Apul.: animae pauxillum in me habet, Naev. com. fr.

    II) übtr.: A) im engern Sinne: 1) im allg.: alqd in manibus, unter den Händen = in der Arbeit haben, Cic.; od. gleichs. schon in Händen (= ganz nahe bevorstehend) haben, z.B. victoriam, Liv. – alqd semper in ore atque animo, im Munde u. im Gedanken haben, -führen, Cic. – in animo od. bl. animo, im Sinne haben = Willens sein, mit folg. Infin., Cic. u.a. – aber alqm in animo, jmd. in Gedanken haben, seiner eingedenk sein, Sall.; vgl. ante oculos, vor Augen haben = eingedenk sein, Iustin.: tecum habeto, behalte es (in Gedanken) bei dir, behalte es für dich, Plaut. Pers. 246: u. so verum (aber) haec tu tecum habeto, Cic. ad Att. 4, 15, 6: secreto hoc audi, tecum habeto, Cic. ep. 7, 25, 2. – hic habuit studia suorum ardentia, war im Besitz von usw., hatte für sich, Cic. Planc. 20. – neque quies gentium sine armis neque arma sine stipendiis neque stipendia sine tributis haberi queunt, kann man bekommen od. schaffen, Tac. hist. 4, 74.

    2) mit Zuständen des Leibes u. der Seele als Objekt, die man an od. in sich hat, wie unser haben, a) übh.: vulnus, Ov.; u. vulnus grave (bildl. von der Liebeswunde), Ov.: dah. als t. t. der Fechter, hoc habet, das (der Hieb) sitzt, Verg.; u. bildl., certe captus est, habet, er ist gefangen, getroffen (von einem Verliebten), Ter.; u. hoc habet, das trifft, das (dieser schlaue Plan) wird seine Wirkung nicht verfehlen, Plaut.; od. als Beifallsruf, hoc habet (gut getroffen), solutust, Plaud. rud. 1143 (vgl. übh. Lorenz Plaut. most. 700). – febrem (febrim), ein Fieber haben, Cic.: capitis dolorem, Quint. – mit Zuständen der Seele, animum fortem, Cic.: bonum: animum de alqo, Sall.: amorem erga alqm, odium in alqm, haben, hegen, Cic.: spem de alqo, Cic.: alci fiduciam, Vertrauen zu jmd. hegen, Cic. – timorem, Nep.: metum, Prop. – vim in inquirendo, Strenge (haben u.) zeigen, Cic.: studium et officium erga alqm, zeigen, Cic. – b) als wesentliche Eigenschaft (an sich) haben, neque modum neque modestiam habere victores, weder Maß noch Ziel kennen, Sall.: habebat hoc omnino Caesar, hatte das an sich, an der Art, Cic.: u. Sardus habebat ille Tigellius hoc, Hor. – v. Lebl. (vgl. Nägelsb. Stil. § 110, 1), quae tamen has vires habet herba, Ov.: quid pulchri constructus acervus habet, hat Schönes an sich, Hor.: habet pacem vultus, Ov.: locus nihil religionis habet, hat (an sich), Cic.: hae litterae, cum leguntur, invidiosam atrocitatem verborum habent, wenn man diesen Brief so liest, so haben die Worte etwas Herbes, was erbittert, Cic.: res maritimae (Seekrieg)... ut quae celerem atque instabilem motum haberent, eigen sei, Caes.: virtus hoc habet, ut etc., hat das Eigentümliche (die eigentümliche Wirkung), Cic.: u. so habet hoc sollicitudo, quod omnia necessaria putat, Plin. ep.: habet atrocitatis aliquid legatio, hat einen drohenden Charakter, Cic. – u. dah. c) etwas haben = in sich schließen, mit sich bringen, notwendig mit etwas verbunden sein, etw. gewähren, verursachen, etw. notwendig zur Folge haben, notwendig erfordern (vgl. Held Caes. b. c. 1, 63, 2. Schömann Cic. de nat. deor. 1, 45. Nägelsb. Stil. § 95), pons habet circuitum, Caes.: castrorum mutatio quid habet? was hat di V. des L. zur Folge? Caes.: beneficium habet querelam, Cic.: avaritia pecuniae studium habet, Sall.: pars ea longam et difficilem habet oppugnationem, Caes. – u. am Menschen selbst = gewisse Affekte erregen, verursachen, misericordiam spoliatio consulatus magnam habere debet, Cic. – viri saepe excellentis ancipites variique casus habent admirationem exspectationem, laetitiam molestiam, spem timorem, Cic.

    3) = wie unser halten, a) in einen Zustand versetzen u. darin erhalten (vgl. Brix Plaut. Men. 579), mare infestum, fortdauernd unsicher machen, Cic.: alqm sollicitum = tüchtig plagen (mit Bitten), Plaut.; u. = beständig in Sorge setzen, Cic.: anxium me et inquietum habet petitio Sexti, Plin. ep.: Numidas toto die proelio intentos, in Atem erhalten, Sall.: neque ea res me falsum habuit, ich fand mich nicht darin getäuscht, Sall.: gratia Pompeium impunitum habuit, machte ihn fortwährend straflos, Vell. – b) jmd. auf irgend eine Art u. Weise halten, behandeln, mit Advv., zB. alqm male, jmd. schlecht halten = schlecht erziehen, Plaut.; od. = übel mitspielen, -mitnehmen, belästigen, Sen. (v. Menschen u. Göttern) u. Caes. (v. Soldaten) u. Cels. (v. Krankheiten). – alqm bene et pudice, jmd. gut u. sittsam halten (erziehen), Plaut.: exercitum luxuriose, üppig halten, Sall.: pudicitiam parum honeste, nicht sonderlich in Ehren halten, Sall.: alqm liberalissime, sehr ehrenvoll behandeln, Cic. – mit Abl. der Art u. Weise, alqm levi, laxiore, duro imperio, eine gelinde usw. Herrschaft über jmd. üben, Sall. u. Tac.; vgl. Fabri Sall. Iug. 64, 5. – (matrem et uxorem Darii) haberi ut reginas praecepit, Iustin. – plebes paene servorum habetur loco, wird fast wie Sklaven behandelt, Caes. – c) jmd. od. etwas zu irgend einem Zweck haben, halten = dienen lassen, alqm ludibrio, jmd. zum Gespötte haben, zum besten haben, Cic.: rem publicam quaestui, Cic.: alqam pro uxore, Suet. – d) an jmd. einen od. etw. haben, in vobis liberos, parentes, consanguineos habeo, Curt. 6, 9 (33), 12: maiora in eo obsequia habituros, Iustin. 8, 6, 6.

    4) für etwas halten = in der Meinung für das u. das ansehen, α) mit Acc. des Prädikats, alqm deum, parentem, Cic.: deos aeternos et beatos, Cic.: alqd non dubium, Auct. bell. Hisp.: im Passiv mit Prädikats-Nom. = für etwas gelten, (Mercurius alter is est) qui sub terris idem Trophonius habetur, Cic.: ea spolia opima habentur, quae etc., Liv. – m. Nom. u. Infin., quae ubi cognita et iam iamque Bosporum invasurus habebatur, man vermutete, daß er usw., Tac. ann. 12, 15. – β) mit pro u. Abl.: alqm pro hoste, für seinen Feind ansehen, Liv.: alqd pro certo, für gewiß halten, Cic. u.a.: alqd pro non dicto, als nicht gesagt ansehen, Liv. – γ) mit in numero (od. bl. numero) u. Genet. od. mit in u. Abl. = unter etwas rechnen, zählen, alqm in numero oratorum, alqm numero hostium, Cic.: alqm in summis ducibus, Nep.: in inimicis, Sall.: Sisena Perses inter fideles socios habebatur, Curt. – si non id, quod amittitur, in damno (als Verlust), sed quidquid relinquitur, pro munere habituri sitis (für ein Geschenk ansehen), Liv.: dona omnia in benignitate habebantur, Sall.: omnia quae secundum naturam fiunt, sunt habenda in bonis, Cic.: saltationem habere inter exercitationes, Quint.: non est illa cothurnatas inter habenda deas, Ov.: litterae inter malas artes habitae, Lact. – δ) m. Dat. der Bestimmung = zu etwas aufnehmen, anrechnen, alqd sibi studio, sich ein Geschäft aus etw. machen, Ter.: alqd religioni, sich aus etwas ein Gewissen machen, Cic.: duritiam voluptati, als eine Lust ansehen, Sall.: paupertas probro haberi coepit, zum Schimpf angerechnet zu werden = als Schimpf zu gelten, Sall. – ε) mit Advv.: parum h., für zu wenig halten = nicht damit zufrieden sein, Ggstz. satis h., für hinlänglich halten, damit zufrieden sein, beide mit folg. Infin., Sall. Iug. 31. § 9 u. 20. – ζ) haberi mit Genet. qual., so u. so gehalten ( geachtet) werden, gelten, cuius auctoritas in his regionibus magni habebatur, hoch gehalten wurde, viel galt, Caes. b. G. 4, 21, 7: parvi habitis, quae per Leonam Constantius scripserat, nicht weiter beachtet, Amm. 21, 1, 4: hic summo in Arvernis ortus loco et magnae habitus auctoritatis, galt für einen Mann von gr. A., Caes. b. G. 7, 77, 3.

    5) etwas halten = vor sich gehen lassen, a) = etwas anstellen, vornehmen, comitia, concilium plebis, senatum, Cic.: auspicia, Liv.: nihil sine auspiciis, Cic.: certamina, Schlachten liefern, Flor. – vom Vornehmen, Unternehmen einer Reise, eines Marsches (s. Bremi Nep. Eum. 8. § 7). iter quo habeat, omnes celat, wohin er seinen Marsch richtet, wohin er marschiert, Nep.: iter Aegyptum, Sardiniam, Caes. u. Cic.: iter ad legiones, den Legionen entgegenmarschieren, Caes.: gentes, per quas iter habebant, Iustin.: nullas nisi sanguine fuso gaudet habere vias, Lucan. – b) = mündlich halten, vortragen, querelas apud alqm de alqo, Klage führen bei jmd. über einen, Cic.: orationem huius modi od. talem, Sall. u. Curt.: hanc orationem in aliquo conventu agrestium, Cic.: orationem in senatu, Cic.: orationem adversus Aeschinem (v. Demosthenes), Hieron.: orationem od. sermonem cum alqo, ein Gespräch halten mit usw., Cic.: sermo inter nos habitus in Cumano, Cic. – h. verba, reden, sprechen, Cic. u.a.: cum alqo, Sall., in alqm, Tac. (vgl. Fabri Sall. Iug. 9, 4): verb. verba atque orationem od. verba orationemque adversus rem publicam, Caes. u. Liv. – h. dialogum, halten = schreiben, Cic. – c) eine Zeit (absichtlich) so u. so hinbringen, verbringen, h. aetatem procul a re publica, Sall.: ubi adulescentiam habuere, Sall.: h. diem luculente, den Tag in Freuden verbringen, Plaut.

    6) halten = beobachten, ordines, Sall. Iug. 80, 2.

    7) meton. = jmdm. etwas geben, gewähren, alci honorem = jmdm. einen Ehrensold geben, zahlen, Cic. (s. Klotz Cic. Reden 2, 700); od. = jmdm. Ehre erweisen, Tac. u.a.

    8) refl., se habere u. bl. habere, a) sich gehaben, sich befinden, sich verhalten, α) v. Pers., αα) vom körperl. Befinden, graviter se habere, schwer krank sein, Cic.: ego me bene habeo, Tac.: Tullia nostra recte valet, Terentia minus belle habuit, Cic.: singulos (saucios), ut se haberent, rogitans, Liv.: Partiz. subst., male habentes, die Kranken (Ggstz. sani, die Gesunden), Augustin. in psalm. 38, 18. – ββ) v. der Lage, se recte, Titin. fr.: se bene, praeclare, Cic.: se parce ac duriter, Ter.: bene se habet, der ist gut aufgehoben, ihm ist wohl (v. einem Verstorbenen), Liv. epit. 114. Val. Max. 3, 2, 13. Sen. ep. 24, 10. Flor. 4, 2, 68: sic habemus, in dieser Lage befinden wir uns, Cic. – β) v. Lebl., sich verhalten, beschaffen sein, mores ita se habent, Sall.: res sic od. ita se habet, u. bl. sic od. ita se habet, Cic. (vgl. Benecke Cic. Lig. 28): Romae autem se res sic habent, zu R. steht es nun dermalen so, Cic.: ut nunc res se habet, Liv.: res praeclare se habeat, si etc., es wäre vortrefflich, wenn usw., Cic.: male enim se res habet, Cic.: bl. bene habet, es steht gut, Cic., Liv. u.a. (s. Drak. Liv. 6, 35, 8. Torren. Val. Max. 5, 10, 2. p. 517. Bünem. Lact. 7, 1, 1): sic habet, so verhält es sich, Hor. – ingenium vestrum luminis instar habet, ist wie ein Licht (beschaffen), Ven. Fort. carm. 3, 8, 10. – b) sich gehaben mit jmd. = zu tun ( zu verhandeln) haben, cedo quicum habeam iudicem. Gr. Habe cum hoc, Plaut. rud. 1380 sqq.

    B) im weitern Sinne: 1) im allg.: a) haben = besitzen, habere ius actionis, abdicandi, Quint.: h. ius in omnes, Lucan.: h. suae vitae modum, seinen eigenen Lebensplan, Ter.: dimidium facti qui coepit habet, Hor. – b) mündlich od. schriftlich von jmd. haben (s. Meißner Cic. Tusc. 1, 119), habes epilogum, da hast du usw., Cic.: habes, ut brevissime potui, genus iudicii et causam absolutionis, Cic.: habes consilia nostra, da hast du usw., das sind usw., Cic.: tantum habeto, so viel wisse, Cic. – c) es ( seinen Willen) haben = die Folgen zu tragen haben (als Formel dessen, der etw. ungern zugibt), habeas, du magst es haben, Ter.: immo habeat, Ter.: vincerent ac sibi haberent, Suet.

    2) von außen her haben = bekommen, malum habebis, dir wird's sehr übel ergehen, Plaut.: non nullam invidiam habere ex eo, quod etc., den Unwillen der Menschen einigermaßen erregt haben, weil usw., Cic.: h. dissimiles naturas, casus, Cic.: h. talem vitae exitum, Nep.

    3) in einem gewissen Verhältnis od. in einem gewissen Zustande haben, mit Prädik.-Acc. = haben als usw. od. zu usw., od. mit inter u. Akk., od. mit pro u. Abl., a) m. Prädik.-Acc.: α) eines Subst.: Valerium Flaccum in consulatu censuraque collegam h., Nep.: sororem Persei uxorem habere, Eutr.: digni sumus, quos habeas tui consilii participes, Cic. – β) eines Adi. od. Partic. Perf. Pass.: αα) eines Adi.: habeo alqm acerbum, es zeigt sich jmd. erbittert gegen mich, Cic.: alqm inimicum, jmd. zu seinem Feinde haben, Ter.: multos adversos, Sall.: habebantur fidelissimi, zeigten sich als usw., Sall.: habeo te ereptum ex etc., ich habe dich = sehe dich usw., Curt.: virtus clara aeternaque habetur, Geisteskraft ist ein herrlicher u. ewiger Besitz, Sall. Vgl. Dietsch Sall. Cat. 1, 4. – ββ) eines Partic. Perf. Pass., um anzuzeigen, daß das Objekt in eine bestimmte Beschaffenheit versetzt von dem Subjekte beherrscht u. besessen werde, docemur auctoritate legum domitas habere libidines, die Begierden vollkommen zu bändigen, Cic.: causas omnes sobrii oratores percursas animo et prope dicam decantatas habere debent, Cic.: fac ut habeas, nos quidem ita scriptum habemus, mache, daß du es (so in deinen Büchern eingetragen) hast usw., Cic. – So werden besonders gebraucht cognitum, perspectum, exploratum, deliberatum, persuasum, propositum, susceptum habere = etwas als ein Erkanntes usw. innehaben, Cic. u.a. – b) mit inter u. Akk.: inter fideles socios habebantur, Curt. – c) m. pro u. Abl.: audacia habetur pro muro, den Furchtlosen umgibt sein Mut wie eine schützende Mauer, Sall.

    4) von Zuständen, jmd. in seiner Gewalt = ergriffen haben, nox te habet, die Nacht des Todes hält dich umfangen, Val. Flacc.: timor, metus, ira alqm habet, Ov.: habet sua quemque dies, jeden ereilt sein Tag, Val. Flacc.

    5) wie εχειν u. haben, a) m. Acc., gleichs. in Vorrat haben, incipe, si quid habes, Verg.: nisi quid habes ad hanc, einzuwenden hast, Cic. – b) mit folg. Infin. = das Vermögen haben, etwas zu leisten, α) = in der Lage sein, können, in multis hoc rebus dicere habemus, Lucr.: habeo etiam dicere, ich könnte noch anführen, Cic.: haec habui dicere, das hatte ich zu sagen, Cic.: pro certo illud habeo affirmare, Cic.: de Alexandrina re tantum habeo polliceri m. folg. Acc. u. Infin., Cic.: an melius quis habet suadere, hat od. weiß einer etwas Besseres zu raten. Hor. – β) (bei den Eccl.) = müssen, quod haereses haberent existere, Lact.: quod carne indui haberet in terra, Lact.: de qua Christus nasci habebat, Tert. Vgl. Bünem. Lact. 4, 12, 15 u. 4, 18, 22 4, 30, 2. – c) mit folg. Relativsatz od. indir. Fragesatz = wissen, nihil habeo, quod ad te scribam, ich habe, weiß nichts an dich zu schreiben, Cic.: ecquid habes, quod dicas? Cic.: nihil habeo, quod accusem senectutem, Cic. – non habeo, quid scribam, ich weiß nicht, was ich schreiben soll, Cic.: nec quid mandem habeo (ich weiß nicht, was ich auftragen soll), nihil enim praetermissum est; nec quid narrem, novi enim nihil, Cic. – d) mit folg. Partic. Fut. Pass., haben = müssen, statuendum respondendum habere, zu bestimmen, zu beantworten haben, Tac.: habemus enitendum, haben uns zu bemühen, Plin. ep. vgl. Pabst Tac. dial. 1. p. 2 sq. – / haben = habesne, Plaut. Pseud. 1163; trin. 89 u. 964; truc. 680. – archaist. habessit = habuerit, Cic. de legg. 2, 19. – Parag. Infin. haberier, Plaut. mil. 594. – vulg. Partiz. habiens, Grom. vet. 327, 22; 328, 1 u. 11. Itala (ev. Palat.) Luc. 3, 1; 15, 4; 19, 17.

    lateinisch-deutsches > habeo

  • 13 habeo

    habeo, uī, itum, ēre, das deutsche haben und halten, I) eig.: A) im engern Sinne: 1) an sich (in der Hand, am Halse usw.) haben = halten, führen, tragen, a) übh.: iaculum, quod manibus habemus, Ov.: coronam alteram in capite, alteram in collo, Cic.: anulum in digito, Ter.: fenum in cornu, Hor. (s. fenum): vestis bona quaerit haberi, getragen zu werden, Ov. – v. Lebl., arma hic paries habebit, Hor.: nulla taberna meos habeat neque pila libellos, in keinem Buchladen, an keinem Pfeiler mögen meine Schriften feil hängen, Hor.: altera vestes ripa meas habuit, auf dem andern Ufer lagen meine Kleider, Ov. – b) als wesentlichen Bestandteil an sich haben, quae feminae duplices papillas habent, Cic. fr.: hos habuit vultus, Ov. – v. Lebl., pedum calidus pulvis vestigia habebat, Ov.: pars secreta domus tres habuit thalamos, Ov.: tunicae manicas habent, Verg.: tabulae habentes clavorum cacumina, Val. Max. – c) = führen, handhaben, tractantes ferrum et arma habentes parēre, Iustin.: nec immensa barbarorum scuta perinde haberi quam pila et gladios, Tac. – d) halten = hinhalten, dorsum ad lucem (gegen das L.), Augustin. conf. 4, 16.
    2) von Örtl. = in seinem Bereiche aufgenommen haben, umschließen, festgebannt halten, me confectum curis infelix habuit thalamus, Verg.: me quoque pontus haberet, Ov.: Tartara habent Pantoiden, Hor.
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    3) von Schriften in bezug auf ihren Inhalt, wie haben = enthalten, nihil enim (epistula) habebat, quod non vel in contione recte legi posset, Cic.: editio habebit omnia, Quint.: quod nulla annalium memoria habeat, Liv.: pro C. Cornelio et Tito Annio Quintum Acilium et C. Herennium habent quidam annales, Liv.
    B) im weitern Sinne: 1) (wie εχειν), im Besitze-, in seiner Gewalt haben, a) = als Bewohner innehaben, bewohnen, Capuam, Liv.: silvas, Flor.: moenia, Verg.: urbem, Sall. Vgl. Korte Sall. Cat. 6, 1. – b) als Feind besetzt halten, hostis habet muros, Verg.: hostis habet portus, Val. Flacc. Vgl. Burmann Val. Flacc. 3, 45. – c) als Herrscher im Besitze haben, beherrschen (vgl. Duker Flor. 4, 2, 22. Korte Sall. Cat. 6, 1), urbem Romam a principio reges habuere, Tac.: Siciliam et Sardiniam per legatos, verwalten, Flor.: habeo, non habeor a Laide (εχω, ἀλλ᾽ ουκ εχομαι), v. Geliebten, Cic. – animus habet cuncta neque ipse habetur, Sall.: ventis aëra habendum permittere, zum Beherrschen überlassen, Ov. – d) wirklich im Besitze, in Händen, als Eigentum haben, α) = besitzen (während streng juristisch tenere = physisch besitzen, possidere = rechtlich besitzen, s. Florentin. dig. 46, 4, 18 tu meum habes, tenes, possides, u. bildl., Plin. ep. 1, 16, 1 totum me tenet, habet, possidet; u. korresp. mit possidere b. Phaedr. 4, 4, 10 sq.), gemmas, argentum, Hor.: vectigalia magna divitias-
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    que, Hor.: honeste divitias, modeste opes, besitzen u. gebrauchen, einen edlen usw. Gebrauch machen von usw., Sall. u. Tac.: pretium habes, du hast deinen Lohn weg, Hor.: quod habet (Ggstz. quod ei deest), Sen.: me enim tabulas tuas habere (in Händen haben) et proferre oportuit, Cic. – ex animi sententia uxorem h., Cic.: quid mulieris uxorem habes? was hast du für ein Weibsbild zur Frau? Ter.: Roma poëtas habet, Hor. – absol. (wie εχειν) = Besitz ( Besitzungen) haben, ansässig sein, Vermögen haben, wohlhabend sein (vgl. Gräve u. Korte Cic. ep. 7, 29, 2. Drak. Sil. 5, 264. Burmann Phaedr. 3. prol. 21), habere in Bruttiis, Cic., in Veiente agro, Liv.: habet idem in nummis, habet in praediis urbanis, er hat etwas an barem Gelde, er hat einige Besitzungen bei der Stadt, Cic.: nos quod simus, quod habeamus, id omne abs te habere, Cur. in Cic. ep.: habendi cupiditas, Habsucht, Rutil. Lup.; dass. habendi amor, Verg. u.a.; u. habendi cupido, cura, studium, Plin. ep., Phaedr. u. Aur. Vict. (vgl. Drak. u. Burmann a. a. O.): dass. qui habet (der Reiche), ultro appetitur; qui est pauper, aspernatur, Nep. fr. 5, 4: u. habentes ( wie οἱ εχοντες) = die Wohlhabenden, Ggstz. non habentes (οἱ ουκ εχοντες) = die Armen, Lact. 5, 8, 7. – β) wie εχειν u. unser haben = in Besitz nehmen, erlangen, bekommen, anne habebit ariola? Dae. non feret, Plaut.: quam ille se habiturum non dubitabat, Nep. –
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    γ) habere alqd sibi, etwas für sich haben = behalten (s. Matthiä Cic. Sull. 26), sibi hereditatem, Cic.: sibi haberent honores, sibi imperia, sibi provincias, Cic. – dah. die Ehescheidungsformel: res tuas tibi habeas od. habe od. habeto, behalte od. nimm deine Sachen für dich, Plaut. Amph. 928. Sen. suas. 1, 7; contr. 2, 5 (13), 9. Apul. met. 5, 26: istam suas res sibi habere iussit, heißt sie für sich geschieden leben, Cic. Phil. 2, 69: scherzh. übtr., apage sis amor; tuas tibi res habeto, wir sind geschiedene Leute, Plaut. trin. 267 L. – e) Tiere zur Zucht, Benutzung, zum Unterhalt usw. haben, halten (s. Burmann Phaedr. 3, 3, 4), pecus, Varro, Verg. u.a.: habens quidam pecora, ein Viehbesitzer, Viehzüchter, Phaedr.: canes potius acres paucos quam multos, Varro. – u. f) eine Person zu irgend einem Zwecke bei sich haben, domi divisores, Cic. ad Att. 1, 16, 12. – bes. alqam, Plaut. u.a.: quis heri habuit Chrysidem? Ter. Vgl. Westerhof Ter. Andr. 1, 1, 58. – g) übh. in seiner Gewalt haben, habesne hominem? hast du ihn (ertappt)? Ph. Quidni habeam! Ter.: u. bildl., habeo viros, ich habe sie (= ich kenne nun ihre Gesinnung), Phaedr.
    2) in irgend einer äußern Lage dauernd haben, halten, a) in seiner Umgebung, alqm secum, bei od. um sich haben, Nep.: alqm ad manum, bei der Hand (zu seinen Diensten) haben, Nep.: catervas flagitiosorum circum se, Sall.: in partibus Pallantem, auf sei-
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    ner Seite haben, Tac. – b) an einem Orte usw. halten = bleiben-, stehen lassen, aegros in tenebris, Cels.: milites in stativis castris, Sall.: exercitum inter hiberna Romanorum, Sall.: pecora et armenta inter silvas, Iustin.: aquam caelestem sub dio in sole, Col.: bildl., pudicitiam in propatulo, öffentlich feilbieten, Sall.: arma procul, die W. fern halten = den Krieg vermeiden, Tac. – dah. c) mit dem Nbbgr. der gehemmten Bewegung, wie halten = festhalten, senatum in curia inclusum, eingeschlossen halten, Cic.: alqm in vinculis, in custodia, Sall.: aber auch in custodiam haberi, in Haft gebracht werden u. bleiben, Liv. u. Tac.: dah. haberi in Syria, in S. in Gewahrsam gehalten werden, Tac. – quae res eos in magno diuturnoque bello inter se habuit, verwickelt hielt, verwickelte, Sall.: semper eos in armis accolae Galli habebant, nötigten sie, immer unter den W. zu bleiben, Liv.
    3) refl., sich irgendwo gehaben = sich aufhalten, wohnen, quis istic habet? Plaut.: ubi hic Moschis habet? Afran. fr.: ubi nunc adulescens habet? Plaut.: in delubro, ubi aeditumus habere solet, Sacr. Arg. bei Varro LL. 5. § 50 u. 52: qui Syracusis habet, Plaut.: multi habent in praediis, quibus etc., Varro: qui in eo loco habebant, Dict.: praecipit fortunatorum habituram loco, Apul.: animae pauxillum in me habet, Naev. com. fr.
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    II) übtr.: A) im engern Sinne: 1) im allg.: alqd in manibus, unter den Händen = in der Arbeit haben, Cic.; od. gleichs. schon in Händen (= ganz nahe bevorstehend) haben, z.B. victoriam, Liv. – alqd semper in ore atque animo, im Munde u. im Gedanken haben, -führen, Cic. – in animo od. bl. animo, im Sinne haben = Willens sein, mit folg. Infin., Cic. u.a. – aber alqm in animo, jmd. in Gedanken haben, seiner eingedenk sein, Sall.; vgl. ante oculos, vor Augen haben = eingedenk sein, Iustin.: tecum habeto, behalte es (in Gedanken) bei dir, behalte es für dich, Plaut. Pers. 246: u. so verum (aber) haec tu tecum habeto, Cic. ad Att. 4, 15, 6: secreto hoc audi, tecum habeto, Cic. ep. 7, 25, 2. – hic habuit studia suorum ardentia, war im Besitz von usw., hatte für sich, Cic. Planc. 20. – neque quies gentium sine armis neque arma sine stipendiis neque stipendia sine tributis haberi queunt, kann man bekommen od. schaffen, Tac. hist. 4, 74.
    2) mit Zuständen des Leibes u. der Seele als Objekt, die man an od. in sich hat, wie unser haben, a) übh.: vulnus, Ov.; u. vulnus grave (bildl. von der Liebeswunde), Ov.: dah. als t. t. der Fechter, hoc habet, das (der Hieb) sitzt, Verg.; u. bildl., certe captus est, habet, er ist gefangen, getroffen (von einem Verliebten), Ter.; u. hoc habet, das trifft, das (dieser schlaue Plan) wird seine Wirkung nicht verfehlen,
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    Plaut.; od. als Beifallsruf, hoc habet (gut getroffen), solutust, Plaud. rud. 1143 (vgl. übh. Lorenz Plaut. most. 700). – febrem (febrim), ein Fieber haben, Cic.: capitis dolorem, Quint. – mit Zuständen der Seele, animum fortem, Cic.: bonum: animum de alqo, Sall.: amorem erga alqm, odium in alqm, haben, hegen, Cic.: spem de alqo, Cic.: alci fiduciam, Vertrauen zu jmd. hegen, Cic. – timorem, Nep.: metum, Prop. – vim in inquirendo, Strenge (haben u.) zeigen, Cic.: studium et officium erga alqm, zeigen, Cic. – b) als wesentliche Eigenschaft (an sich) haben, neque modum neque modestiam habere victores, weder Maß noch Ziel kennen, Sall.: habebat hoc omnino Caesar, hatte das an sich, an der Art, Cic.: u. Sardus habebat ille Tigellius hoc, Hor. – v. Lebl. (vgl. Nägelsb. Stil. § 110, 1), quae tamen has vires habet herba, Ov.: quid pulchri constructus acervus habet, hat Schönes an sich, Hor.: habet pacem vultus, Ov.: locus nihil religionis habet, hat (an sich), Cic.: hae litterae, cum leguntur, invidiosam atrocitatem verborum habent, wenn man diesen Brief so liest, so haben die Worte etwas Herbes, was erbittert, Cic.: res maritimae (Seekrieg)... ut quae celerem atque instabilem motum haberent, eigen sei, Caes.: virtus hoc habet, ut etc., hat das Eigentümliche (die eigentümliche Wirkung), Cic.: u. so habet hoc sollicitudo, quod omnia necessaria putat, Plin. ep.: habet atrocitatis aliquid legatio,
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    hat einen drohenden Charakter, Cic. – u. dah. c) etwas haben = in sich schließen, mit sich bringen, notwendig mit etwas verbunden sein, etw. gewähren, verursachen, etw. notwendig zur Folge haben, notwendig erfordern (vgl. Held Caes. b. c. 1, 63, 2. Schömann Cic. de nat. deor. 1, 45. Nägelsb. Stil. § 95), pons habet circuitum, Caes.: castrorum mutatio quid habet? was hat di V. des L. zur Folge? Caes.: beneficium habet querelam, Cic.: avaritia pecuniae studium habet, Sall.: pars ea longam et difficilem habet oppugnationem, Caes. – u. am Menschen selbst = gewisse Affekte erregen, verursachen, misericordiam spoliatio consulatus magnam habere debet, Cic. – viri saepe excellentis ancipites variique casus habent admirationem exspectationem, laetitiam molestiam, spem timorem, Cic.
    3) = wie unser halten, a) in einen Zustand versetzen u. darin erhalten (vgl. Brix Plaut. Men. 579), mare infestum, fortdauernd unsicher machen, Cic.: alqm sollicitum = tüchtig plagen (mit Bitten), Plaut.; u. = beständig in Sorge setzen, Cic.: anxium me et inquietum habet petitio Sexti, Plin. ep.: Numidas toto die proelio intentos, in Atem erhalten, Sall.: neque ea res me falsum habuit, ich fand mich nicht darin getäuscht, Sall.: gratia Pompeium impunitum habuit, machte ihn fortwährend straflos, Vell. – b) jmd. auf irgend eine Art u. Weise halten, behandeln, mit
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    Advv., zB. alqm male, jmd. schlecht halten = schlecht erziehen, Plaut.; od. = übel mitspielen, -mitnehmen, belästigen, Sen. (v. Menschen u. Göttern) u. Caes. (v. Soldaten) u. Cels. (v. Krankheiten). – alqm bene et pudice, jmd. gut u. sittsam halten (erziehen), Plaut.: exercitum luxuriose, üppig halten, Sall.: pudicitiam parum honeste, nicht sonderlich in Ehren halten, Sall.: alqm liberalissime, sehr ehrenvoll behandeln, Cic. – mit Abl. der Art u. Weise, alqm levi, laxiore, duro imperio, eine gelinde usw. Herrschaft über jmd. üben, Sall. u. Tac.; vgl. Fabri Sall. Iug. 64, 5. – (matrem et uxorem Darii) haberi ut reginas praecepit, Iustin. – plebes paene servorum habetur loco, wird fast wie Sklaven behandelt, Caes. – c) jmd. od. etwas zu irgend einem Zweck haben, halten = dienen lassen, alqm ludibrio, jmd. zum Gespötte haben, zum besten haben, Cic.: rem publicam quaestui, Cic.: alqam pro uxore, Suet. – d) an jmd. einen od. etw. haben, in vobis liberos, parentes, consanguineos habeo, Curt. 6, 9 (33), 12: maiora in eo obsequia habituros, Iustin. 8, 6, 6.
    4) für etwas halten = in der Meinung für das u. das ansehen, α) mit Acc. des Prädikats, alqm deum, parentem, Cic.: deos aeternos et beatos, Cic.: alqd non dubium, Auct. bell. Hisp.: im Passiv mit Prädikats-Nom. = für etwas gelten, (Mercurius alter is est) qui sub terris idem Trophonius habetur, Cic.: ea spo-
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    lia opima habentur, quae etc., Liv. – m. Nom. u. Infin., quae ubi cognita et iam iamque Bosporum invasurus habebatur, man vermutete, daß er usw., Tac. ann. 12, 15. – β) mit pro u. Abl.: alqm pro hoste, für seinen Feind ansehen, Liv.: alqd pro certo, für gewiß halten, Cic. u.a.: alqd pro non dicto, als nicht gesagt ansehen, Liv. – γ) mit in numero (od. bl. numero) u. Genet. od. mit in u. Abl. = unter etwas rechnen, zählen, alqm in numero oratorum, alqm numero hostium, Cic.: alqm in summis ducibus, Nep.: in inimicis, Sall.: Sisena Perses inter fideles socios habebatur, Curt. – si non id, quod amittitur, in damno (als Verlust), sed quidquid relinquitur, pro munere habituri sitis (für ein Geschenk ansehen), Liv.: dona omnia in benignitate habebantur, Sall.: omnia quae secundum naturam fiunt, sunt habenda in bonis, Cic.: saltationem habere inter exercitationes, Quint.: non est illa cothurnatas inter habenda deas, Ov.: litterae inter malas artes habitae, Lact. – δ) m. Dat. der Bestimmung = zu etwas aufnehmen, anrechnen, alqd sibi studio, sich ein Geschäft aus etw. machen, Ter.: alqd religioni, sich aus etwas ein Gewissen machen, Cic.: duritiam voluptati, als eine Lust ansehen, Sall.: paupertas probro haberi coepit, zum Schimpf angerechnet zu werden = als Schimpf zu gelten, Sall. – ε) mit Advv.: parum h., für zu wenig halten = nicht damit zufrieden sein, Ggstz. satis h., für hinlänglich halten,
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    damit zufrieden sein, beide mit folg. Infin., Sall. Iug. 31. § 9 u. 20. – ζ) haberi mit Genet. qual., so u. so gehalten ( geachtet) werden, gelten, cuius auctoritas in his regionibus magni habebatur, hoch gehalten wurde, viel galt, Caes. b. G. 4, 21, 7: parvi habitis, quae per Leonam Constantius scripserat, nicht weiter beachtet, Amm. 21, 1, 4: hic summo in Arvernis ortus loco et magnae habitus auctoritatis, galt für einen Mann von gr. A., Caes. b. G. 7, 77, 3.
    5) etwas halten = vor sich gehen lassen, a) = etwas anstellen, vornehmen, comitia, concilium plebis, senatum, Cic.: auspicia, Liv.: nihil sine auspiciis, Cic.: certamina, Schlachten liefern, Flor. – vom Vornehmen, Unternehmen einer Reise, eines Marsches (s. Bremi Nep. Eum. 8. § 7). iter quo habeat, omnes celat, wohin er seinen Marsch richtet, wohin er marschiert, Nep.: iter Aegyptum, Sardiniam, Caes. u. Cic.: iter ad legiones, den Legionen entgegenmarschieren, Caes.: gentes, per quas iter habebant, Iustin.: nullas nisi sanguine fuso gaudet habere vias, Lucan. – b) = mündlich halten, vortragen, querelas apud alqm de alqo, Klage führen bei jmd. über einen, Cic.: orationem huius modi od. talem, Sall. u. Curt.: hanc orationem in aliquo conventu agrestium, Cic.: orationem in senatu, Cic.: orationem adversus Aeschinem (v. Demosthenes), Hieron.: orationem od. sermonem cum alqo, ein Gespräch halten mit usw.,
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    Cic.: sermo inter nos habitus in Cumano, Cic. – h. verba, reden, sprechen, Cic. u.a.: cum alqo, Sall., in alqm, Tac. (vgl. Fabri Sall. Iug. 9, 4): verb. verba atque orationem od. verba orationemque adversus rem publicam, Caes. u. Liv. – h. dialogum, halten = schreiben, Cic. – c) eine Zeit (absichtlich) so u. so hinbringen, verbringen, h. aetatem procul a re publica, Sall.: ubi adulescentiam habuere, Sall.: h. diem luculente, den Tag in Freuden verbringen, Plaut.
    6) halten = beobachten, ordines, Sall. Iug. 80, 2.
    7) meton. = jmdm. etwas geben, gewähren, alci honorem = jmdm. einen Ehrensold geben, zahlen, Cic. (s. Klotz Cic. Reden 2, 700); od. = jmdm. Ehre erweisen, Tac. u.a.
    8) refl., se habere u. bl. habere, a) sich gehaben, sich befinden, sich verhalten, α) v. Pers., αα) vom körperl. Befinden, graviter se habere, schwer krank sein, Cic.: ego me bene habeo, Tac.: Tullia nostra recte valet, Terentia minus belle habuit, Cic.: singulos (saucios), ut se haberent, rogitans, Liv.: Partiz. subst., male habentes, die Kranken (Ggstz. sani, die Gesunden), Augustin. in psalm. 38, 18. – ββ) v. der Lage, se recte, Titin. fr.: se bene, praeclare, Cic.: se parce ac duriter, Ter.: bene se habet, der ist gut aufgehoben, ihm ist wohl (v. einem Verstorbenen), Liv. epit. 114. Val. Max. 3, 2, 13. Sen. ep. 24, 10. Flor. 4, 2, 68: sic habemus, in dieser Lage befinden wir uns,
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    Cic. – β) v. Lebl., sich verhalten, beschaffen sein, mores ita se habent, Sall.: res sic od. ita se habet, u. bl. sic od. ita se habet, Cic. (vgl. Benecke Cic. Lig. 28): Romae autem se res sic habent, zu R. steht es nun dermalen so, Cic.: ut nunc res se habet, Liv.: res praeclare se habeat, si etc., es wäre vortrefflich, wenn usw., Cic.: male enim se res habet, Cic.: bl. bene habet, es steht gut, Cic., Liv. u.a. (s. Drak. Liv. 6, 35, 8. Torren. Val. Max. 5, 10, 2. p. 517. Bünem. Lact. 7, 1, 1): sic habet, so verhält es sich, Hor. – ingenium vestrum luminis instar habet, ist wie ein Licht (beschaffen), Ven. Fort. carm. 3, 8, 10. – b) sich gehaben mit jmd. = zu tun ( zu verhandeln) haben, cedo quicum habeam iudicem. Gr. Habe cum hoc, Plaut. rud. 1380 sqq.
    B) im weitern Sinne: 1) im allg.: a) haben = besitzen, habere ius actionis, abdicandi, Quint.: h. ius in omnes, Lucan.: h. suae vitae modum, seinen eigenen Lebensplan, Ter.: dimidium facti qui coepit habet, Hor. – b) mündlich od. schriftlich von jmd. haben (s. Meißner Cic. Tusc. 1, 119), habes epilogum, da hast du usw., Cic.: habes, ut brevissime potui, genus iudicii et causam absolutionis, Cic.: habes consilia nostra, da hast du usw., das sind usw., Cic.: tantum habeto, so viel wisse, Cic. – c) es ( seinen Willen) haben = die Folgen zu tragen haben (als Formel dessen, der etw. ungern zugibt), habeas, du magst es haben,
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    Ter.: immo habeat, Ter.: vincerent ac sibi haberent, Suet.
    2) von außen her haben = bekommen, malum habebis, dir wird's sehr übel ergehen, Plaut.: non nullam invidiam habere ex eo, quod etc., den Unwillen der Menschen einigermaßen erregt haben, weil usw., Cic.: h. dissimiles naturas, casus, Cic.: h. talem vitae exitum, Nep.
    3) in einem gewissen Verhältnis od. in einem gewissen Zustande haben, mit Prädik.-Acc. = haben als usw. od. zu usw., od. mit inter u. Akk., od. mit pro u. Abl., a) m. Prädik.-Acc.: α) eines Subst.: Valerium Flaccum in consulatu censuraque collegam h., Nep.: sororem Persei uxorem habere, Eutr.: digni sumus, quos habeas tui consilii participes, Cic. – β) eines Adi. od. Partic. Perf. Pass.: αα) eines Adi.: habeo alqm acerbum, es zeigt sich jmd. erbittert gegen mich, Cic.: alqm inimicum, jmd. zu seinem Feinde haben, Ter.: multos adversos, Sall.: habebantur fidelissimi, zeigten sich als usw., Sall.: habeo te ereptum ex etc., ich habe dich = sehe dich usw., Curt.: virtus clara aeternaque habetur, Geisteskraft ist ein herrlicher u. ewiger Besitz, Sall. Vgl. Dietsch Sall. Cat. 1, 4. – ββ) eines Partic. Perf. Pass., um anzuzeigen, daß das Objekt in eine bestimmte Beschaffenheit versetzt von dem Subjekte beherrscht u. besessen werde, docemur auctoritate legum domitas habere libidines, die
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    Begierden vollkommen zu bändigen, Cic.: causas omnes sobrii oratores percursas animo et prope dicam decantatas habere debent, Cic.: fac ut habeas, nos quidem ita scriptum habemus, mache, daß du es (so in deinen Büchern eingetragen) hast usw., Cic. – So werden besonders gebraucht cognitum, perspectum, exploratum, deliberatum, persuasum, propositum, susceptum habere = etwas als ein Erkanntes usw. innehaben, Cic. u.a. – b) mit inter u. Akk.: inter fideles socios habebantur, Curt. – c) m. pro u. Abl.: audacia habetur pro muro, den Furchtlosen umgibt sein Mut wie eine schützende Mauer, Sall.
    4) von Zuständen, jmd. in seiner Gewalt = ergriffen haben, nox te habet, die Nacht des Todes hält dich umfangen, Val. Flacc.: timor, metus, ira alqm habet, Ov.: habet sua quemque dies, jeden ereilt sein Tag, Val. Flacc.
    5) wie εχειν u. haben, a) m. Acc., gleichs. in Vorrat haben, incipe, si quid habes, Verg.: nisi quid habes ad hanc, einzuwenden hast, Cic. – b) mit folg. Infin. = das Vermögen haben, etwas zu leisten, α) = in der Lage sein, können, in multis hoc rebus dicere habemus, Lucr.: habeo etiam dicere, ich könnte noch anführen, Cic.: haec habui dicere, das hatte ich zu sagen, Cic.: pro certo illud habeo affirmare, Cic.: de Alexandrina re tantum habeo polliceri m. folg. Acc. u. Infin., Cic.: an melius quis habet suadere, hat od.
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    weiß einer etwas Besseres zu raten. Hor. – β) (bei den Eccl.) = müssen, quod haereses haberent existere, Lact.: quod carne indui haberet in terra, Lact.: de qua Christus nasci habebat, Tert. Vgl. Bünem. Lact. 4, 12, 15 u. 4, 18, 22 4, 30, 2. – c) mit folg. Relativsatz od. indir. Fragesatz = wissen, nihil habeo, quod ad te scribam, ich habe, weiß nichts an dich zu schreiben, Cic.: ecquid habes, quod dicas? Cic.: nihil habeo, quod accusem senectutem, Cic. – non habeo, quid scribam, ich weiß nicht, was ich schreiben soll, Cic.: nec quid mandem habeo (ich weiß nicht, was ich auftragen soll), nihil enim praetermissum est; nec quid narrem, novi enim nihil, Cic. – d) mit folg. Partic. Fut. Pass., haben = müssen, statuendum respondendum habere, zu bestimmen, zu beantworten haben, Tac.: habemus enitendum, haben uns zu bemühen, Plin. ep. vgl. Pabst Tac. dial. 1. p. 2 sq. – haben = habesne, Plaut. Pseud. 1163; trin. 89 u. 964; truc. 680. – archaist. habessit = habuerit, Cic. de legg. 2, 19. – Parag. Infin. haberier, Plaut. mil. 594. – vulg. Partiz. habiens, Grom. vet. 327, 22; 328, 1 u. 11. Itala (ev. Palat.) Luc. 3, 1; 15, 4; 19, 17.

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  • 14 subdialis

    Латинско-русский словарь > subdialis

  • 15 coquo

    coquo, coxī, coctum, ere (aus *quequo, altind. pácati, kocht, bäckt, brät; vgl. griech. πέσσω, koche, verdaue; πέπων reif, πόπανον, Gebäck), kochen = durch Feuer zubereiten, unser kochen, sieden, backen, brennen, dörren, schmelzen, zeitigen, reifen, I) eig.: A) tr.: 1) kochen, sieden, backen, is, quiilla coxerat, Cic.: c. cibaria (Brot), Liv. (so auch cibaria cocta, cibaria in quinque dies cocta, quindecirm dierum cibaria cocta, Liv.; vgl. Drak. Liv. 44, 32, 11): cibum, Varro (so auch cibus coctus, Sall.): vasa coquendis cibis utilia, Plin.: cochleam od. cochleas, Cels. u. Varro: cenam, Komik.: alci cenam, Plaut. u. Nep. (vgl. die quinti in Capitolio tibi cena cocta erit, Cato fr.): humana exta. Hor.: medicamenta, Liv.: alcis obsonia, gar kochen (scherzh. = faul machen, vom heißen Schirokko), Hor.: ova columbina, Cels.: panem, Varro fr. u. Plin.: pavonem, Hor.: venena, Liv.: caro cocta (Ggstz. caro salsa), Apic. 1. § 8 u. 10: lupinus coctus (Ggstz. crudus), Edict. Diocl. – c. alqd bene, leniter, leviter, modice, recte, Cels.: alqd sic, ut etc., Cels.: simul coquuntur mel, galbanum, resina etc., Cels.: alqd eodem modo, Cels.: alqd pluribus modis, Plin.: alqd ad carbones leniter paululum, Veget. mul.: alqd clementer, Ser. Samm.: alqd lente, Plin.: alqd igni leni od. lento, Cato u. Plin.: alqd lentis vaporibus, Hier.: c. alqd bis, Cels.: denuo, Cato: de integro, Col.: c. cibos turis ligno, Plin. – c. alqd in tecto, sub dio, Cato: c. liba in subito foco, Ov.: alqd carbonibus, Plin.: alqd in olla od. in aeneo vase, Plin. u. Cels.: multifariam in patellis cepe, Varro fr.: vitulus aëno coctus, Petron. – m. Angabe womit? (= mit welchem Stoffe zusammen?) durch cum u. Abl., od. m. Ang. worin? (= in welchem Stoffe?) durch in od. ex u. Abl., alqd cum aqua, in od. ex aqua, Cels.: alqd ex oleo, ex lacte, Cels.: gemmam in lacte, Plin.: alqd cum vino, in od. ex vino, Cels. – m. Angabe woraus? durch ex u. Abl. od. durch bl. Abl., picem liquidam e taeda, Plin.: alqd tostā polentā, Ov. – m. Ang. bis zu welchem Grade? alqd usque ad mellis crassitudinem, Plin.: tres heminas ad unam, Cels.: c. alqd usque eo, donec etc., Cels.: c. alqd, donec etc., Cels. – absol., ire coctum, Plaut.: coquendo sit faxo, Ter.: difficilis in coquendo cyma, Plin.: vas ad coquendum, ICt. – Partic. Perf. subst., a) coctum, ī, n. u. Plur. cocta ōrum, n., Gekochtes, = gekochte Speisen (Ggstz. crudum, cruda), quid tu, malum, curas utrum crudumque an coctum edim, Plaut. aul. 430: ne quid in popinis cocti praeter legumina aut olera veniret, Suet. Ner. 16, 2: cocta vendere, Suet. Claud. 38, 2. – b) cocta, ae, f., α) ein abgekochter Trank, ein Kräutertrank, Mart. 2, 85, 1. – β) gekochtes Fleisch, Apic. 1, 9. – 2) kochen = kochend machen, zum höchsten Hitzegrad bringen, v. der Sonne, iam non solum calet unda, sed coquitur, Sidon. ep. 2, 2, 1. – 3) auf dem Rost braten, rösten, als Marter, Lact. de mort. pers. 13, 3; vgl. (zur Sache) 21. § 7 u. 8. – 4) brennen, dörren, schmelzen, calcem, Cato u. Vitr.: carbones, Cato: laterculos, Cato: coctus later, gebrannter Ziegelstein, Backstein (Ggstz. crudus later), Vitr. u. Iustin.; vgl. agger coctus, aus ausgebrannten Ziegelsteinen, Prop. – c. robur, durch Feuer härten, Verg.: ligna cocta (= coctilia u. acapna, w. vgl.), ausgetrocknetes Holz, das keinen Rauch gibt, ICt.: coctus pulvis, Puzzolanerde, Stat. – c. aurum cum plumbo, schmelzen, Plin.: so aera fornacibus, Lucan.: rastra et sarcula, schmieden, Iuven. – u. v. Ausdörren, Austrocknen der Sonne u. des Windes, locus is melior, quem non coquit sol, Varro: coquit glebas aestas matutinis solibus, Verg.: rosaria cocta matutino noto, Prop. – 5) (wie πεπαίνω) zur Reife bringen, reifen, zeitigen, von der Sonne usw., eas (arbores) aequabiliter ex omnibus partibus sol ac luna coquunt; quo fit, ut uvae et oleae plures nascantur et ut celerius coquantur, Varro: cum frumentum aestas et debita maturitas coxit, Sen.: fructus (fici) solibus coctus, Plin.: et alte mitis in apricis coquitur vindemia saxis, Verg.: poma matura et cocta, Cic. – 6) in Gährung bringen, zersetzen, v. äußerer Wärme, balineae ardentes, quibus persuasere in corporibus cibos coqui, Plin. 29, 26. – von der organischen Wärme des Körpers, calore et spiritu omnia cocta et confecta, Cic. de nat. deor. 2, 136; vgl. 2, 137. Lact. de opif. dei 14, 5. – B) intr. kochen = gekocht werden, aqua, ubi radix eius coxerit, Dynamid. 1, 21; u. so ibid. 1, 49; 2, 90 u. 106. – II) übtr.: 1) gleichsam etw. brauen, etw., ersinnen, über etw. brüten, auf etw. sinnen, consilia secreto ab aliis, Liv.: bellum, Liv. – 2) jmd. (jmds. Herz, Busen) schmerzlich ängstigen, abhärmen, quae (cura) nunc te coquit et versat in pectore fixa, Enn. ann. 336: femineae ardentem curaeque iraeque coquebant, Verg. Aen. 7, 345: nec (sollicitudo) oratorem macerat et coquit, Quint. 12, 10, 77. – egomet me coquo (mache mir den Kopf warm) et macero et defetigo, Plaut. trin. 225. – 3) Partiz. Perf. im Kompar. m. Genet., hodie iuris coctiores (im R. geriebener) non sunt, quam qui lites creant, Plaut. Poen. 586 sq. – / in guten Handschriften auch quoquo, zB. quoquat, Hor. de art. poët. 186 K. u. M. – coco, wov. cocuntur, Suet. Aug. 87, 1.

    lateinisch-deutsches > coquo

  • 16 subdialis

    subdīālis, e (v. sub dio), unter freiem Himmel befindlich, inambulationes, Plin. 14, 11: petrae, Plin. 34, 117. – subst., subdīāle, is, n., der Altan, Plur. subdialia, Plin. 36, 186. – Andere Form subdīvālis, e, Amm. 19, 11, 4. Th. Prisc. 1, 2. Cassian. coll. 19, 1 u. 24, 2. – u. subst., subdīval, ālis, n., der Altan, Itala Ezech. 9, 3 (b. Tert. adv. Iud. 11); vgl. Gloss. III, 365, 46 ›subdival, ὕπαιθρον‹. – / Über die Länge des i in subdialis s. Lachm. zu Lucr. p. 227.

    lateinisch-deutsches > subdialis

  • 17 δῖος

    δῖος, fem. δῑα, δία und δίη, neutr. δῖον, himmlisch, Adjectiv zu Ζεύς (Δίς) genit. Διός Stamm Δι-Wurzel ΔιF-, von welcher ΔίFς. genit. ΔιFός und mit Ausstoßung des Digamma Διός, Adjectiv δίΕιος, δίιος, δῖος, zusammengezogen wie Χῖος aus Χίιος, Etymol. m. p. 278, 13 Choerobosc. in Cram. An. Ox. 2 p. 191, 29 Orion. p. 49, 27. 50, 21 Epimer. Hom. in Cram. An. Ox. 1 p. 107, 17. 109, 8. 123, 20. Bei Homer kommt δῖος oft vor, aber nicht in allen Formen: der dual. fehlt ganz, vom plural. erscheint nur die Form δῖοι, mehrmals als nominat. mascul., als vocativ. mascul. Iliad. 20, 554; vom singular. findet sich das neutr. nur Iliad. 9, 538, nominat. δὶον, während im femin. und mascul. alle Casus gebraucht sind. Vom mascul. ist δίου selten, Odyss. 3, 84 Iliad. 7, 138, häufiger δῖε und δίῳ, noch häufiger δὶον, am häufigsten δῐος. Der singular. femin lautet δῖα (häufig), δίης (Iliad. 16, 565), δίῃ ( Iliad. 11, 588. 698. 17, 40), δῖαν (häufig), vocat, δῖα ( Iliad. 6, 595. 10, 290). Das kurze α von δῖα und δῖαν ist unregelmäßig, dgl. ἴα, μία, πότνια, ἐλάχεια, ϑάλεια, λίγεια, von welchen Beispielen jedoch keines der Unregelmäßigkeit von δῖα genau entspricht, Dagegen scheinen ὄμπνιος, ὄμπνια, ὄμπνιον und πέπειρος, πέπειρα, πέπειρον vollkommene Analoga zu δῖος, δῖα, δῖον zu sein. Vgl. über δῖα Herodian Scholl. Iliad. 6, 160 Dichron. p. 299, 22 Dracon. p. 79, 14. Nach Scholl. Iliad. 2, 152 ist δῖαν statt δίαν Dorisch, vgl. Ahrens Dial. Dor. p. 177 not. 10 (» Nihil moramur commentum grammatici in Scholl. Il. β, 152 τὸ δὲ δῖαν Δωρικῶς συνέστειλεν.«) Homer gebraucht δῖος von Gottheiten, von Menschen, von Pferden, von Meer, Erde, Luft, von Flüssen, Ländern, Städten: Odyss. 3, 826 Λακεδαίμονα δῖαν; Iliad. 21, 48 δῖαν Ἀρίσβην; Odyss. 13, 275 Ἤλιδα δῖαν; Iliad. 12, 21 δῖος Σκάμανδρος; 2, 522 ποταμὸν Κηφισὸν δῖον; Odyss. 19, 540 αἰϑέρα δῖαν; Iliad. 14, 347 χϑὼν δῖα; Odyss. 3, 155 ἅλα δῖαν; Iliad. 8, 185 (Interpolation) Λάμπε δῖε, Pferd des Hektor; 23. 846 Ἀρείονα δῖον, Ἀδρήστου ταχὺν ἵππον, ὃς ἐκ ϑεόφιν γένος ἦεν; Odyss. 14, 48 δῖος ὑφορβός, 17, 508 δῖ' Εὔμαιε, 21, 80 Εὔμαιον, δῖον ὑφορβόν; 21, 940 Φιλοίτιε δῖε; Iliad. 5, 692 δῐοι ἑταῖροι des Sarpedon; 12, 343 wird der Herold Thootes angeredet δῖε Θοῶτα; viele Fürsten, z. B. Iliad. 2, 221 Ἀγαμέμνονι δίῳ, 1, 121 δῖος Ἀχιλλεας, Odyss. 1, 284 Νέστορα δῖον, Iliad. 1, 145 δῖος Ὀδυσσεύς. 13, 460 Πριάμῳ δίῳ, 6, 515 Ἕκτορα δῖον, 3, 329 δῖος Ἀλέξανδρος13, 490 Ἀγήνορα δῖον; Heroinen, Iliad. 5, 70 δῖα Θεανώ, Iliad. 6, 160 δῖ' Ἄντεια, Odyss. 3, 266 δῖα Κλυταιμνήστρη, Iliad. 17, 40 Φρόντιδι δίῃ, und in der Formel δῖα γυναικῶν: Iliad. 2, 714 δῖα γυναικῶν Ἄλκηστις, Odyss, 4, 305 Ἑλένη, δῖα γυναικῶν, 1, 332 δῖα γυναικῶν von Penelope; 20, 147 δῖα γυναικῶν, Εὐρακλει' Ὦπος ϑυγάτηρ Πεισηνορίδαο; ganze Völker: Iliad. 10, 429 δῖοι Πελασγοί, 5, 451 δῖοι Ἀχαιοί; Göttinnen: Iliad. 3, 413 δῖ' Ἁφροδίτη, Odyss. 20, 73 Ἀφροδίτη δῖα; Iliad. 9, 240 ἠῶ δῖαν, 24, 417 ἠὼς δῖα; Odyss. 12, 104 δῖα Χάρυβδις; 12, 133 δῖα Νέαιρα; 5, 321 δῖα Καλυψώ; Iliad. 10, 290 wird Athene δῖα ϑεά angeredet; in der Formel δῖα ϑεάων: Iliad. 14, 184 Here; 18, 205 Athene; 5, 381 Dione; 18, 388 Charis, Hephästos Gattinn; 19, 6 Thetis; Odyss. 5, 116 Kalypso; 12, 155 Kirke; 4, 382 Eidothea; Iliad. 9, 538 heißt Artemis δῖον γένος, ἰοχέαιρα, vgl. Iliad. 6, 180, wo von der Chimära gesagt wird ἡ δ' ἄρ' ἔην ϑεῖον γένος, οὐδ' ἀνϑρώπων. Männliche Gottheiten erhalten bei Homer das Epitheton δῐος nicht. Ein Ueberblick über den ganzen Homerischen Gebrauch des Wortes zeigt, daß nur in einem Theile der Fälle δῖος ungezwungen auf ein persönliches Verhältniß zum persönlichen Gotte Zeus gedeutet werden kann. So kann das Epitheton der Artemis δῐον γένος Iliad. 9, 538 ungezwungen bedeuten »Tochter des Zeus«, um so mehr, als sie kurz vorher durch Διὸς κούρῃ bezeichnet wird, vs. 536; eben so kann füglich gedeutet werden δῖα ϑεά als Anrede an Athene Iliad. 10, 290, um so mehr, als sie kurz vorher in derselben Rede mit Διὸς τέκος angeredet wird, vs. 284; auch in einem unmittelbar vorhergehenden Gebete wird sie mit Διὸς τέκος angeredet, vs. 578, und vs. 290 bezeichnet der Dichter sie dann noch wieder durch Διὸς κούρῃ μεγάλοιο. So Iliad 6, 304. 305. 312 εὐχομένη δ' ἠρᾶτο Διὸς κούρῃ μεγάλοιο. »πότνι' Ἀϑηναίη, ἐρυσίπτολι, δῖα ϑεάων, ἆξον δὴ ἔγχος Διομήδεος« – ἃς αἱ μέν ῥ' εὔχοντο Διὸς κούρῃ μεγάλοιο. Wegen der δῖοι Πελασγοί könnte man sich berufen auf Iliad. 16, 235 Ζεῠ ἄνα Δωδωναῖε, Πελασγικέ. Ein Herold könnte deshalb δῐος heißen, weil die Herolde bei Homer Διὸς ἄγγελοι ἠδὲ καὶ ἀνδρῶν sind, Iliad. 1, 334. Die Könige könnten δῖοι heißen in demselben Sinne. in welchem sie bei Homer den Titel διογενής und διοτρεφής führen, s. diese Wörter. Eumäus, der δῖος ὑφορβός, ist ein Königssohn, Odyss. 15. 413. Aber in gar manchen anderen Fällen würden Erklärungen dieser Art nicht möglich oder doch sehr gezwungen, weit hergeholt, auf willkührliche, nicht zu erweisende Annahmen begründet sein. Man bedenke z. B., daß auch das Meer, das unbestrittene Eigenthum des Poseidon, δῖα heißt, und die Charybdis, und Eidothea, Proteus Tochter, welcher Ποσειδάωνος ὑποδμώς ist, und Thetis, und die Charis und Kalypso und Kirke. Es empfiehlt sich, eine allgemeinere Bdtg von δῖος anzunehmen. So heißt es in Apollon. Lex. Homer. p. 59. 8 Δῖος· ἀπὸ Διὸς τὸ γένος ἔχων, ἢ ἀγαϑός, ἢ γενναῖος, ἀπὸ τῆς τοῠ Διὸς ὑπεροχῆς. Said. erklärt δῖος = ὁ ἔνδοξος; Hesych. Δῖος· ὡς ἀπὸ Διὸς τὸ γένος ἕλκων· »δῖος Ἀχιλλεύς«. καταχρηστικῶς δὲ ὁ ἀγαϑός; vgl. s. v. v. Δίῳ, Δῖα, Δῐαν, Δῖον und einen zweiten Artikel Δῖος ror Διαλλακτής. Besser jedoch ist es wohl, auf den Umstand zurückzugehn, daß der Gott Ζεύς nichts Anderes ist als eine Personification des klaren, lichten Himmels, wie schon die Etymologie beweis't: Ζεύς (Δίς) genit. Διός von Wurzel ΔιF, ron der auch δίαλος, δέελος, δῆλος, composit. ἔνδιος und εὐδία; Sanskrit divjami glänzen, div das Leuchten, der Himmel, djô nominat. djâus Himmel, Himmelsgott, divjas himmlisch, divam Tag, Latein. Diovis, deus, divus, sub dio, dies, vgl. Curtius Grundz. d. Griech. Etymol. 1, 201. 2, 95. Hiernach wäre δῖος = »der himmlische«, »der dem leuchtenden Himmel (personificirt ›dem leuchtenden Himmelsgott‹) angehörige«, »der lichte«, »leuchtende«, »strahlende«, »glänzende«, »der hervorleuchtende«, »sich auszeichnende«, » ausgezeichnete«, » vortreffliche«, » herrliche« u. s. w. Während in den meisten Fällen das Wort in übertragenem Sinne zu nehmen sein wird, tritt eine rein physische Bedeutung unverkennbar hervor in dem Ausdrucke αἰϑήρ δῖα, besonders Iliad. 16, 365 ὡς δ' ὅτ' ἀπ' Οὐλύμπου νέφος ἔρχεται οὐρανὸν εἴσω αἰϑέρος ἐκ δίης, ὅτε τε Ζεὺς λαίλαπα τείνῃ, »nachdem noch unmittelbar vorher (ἐκ) αἰϑὴρ δῖα gewesen war, d. h. klare Luft, unbewölkter Himmel«, vgl. s. v. αἰϑήρ. Diese Erklärung der Stelle, unterstützt auch durch εὐδία und ἔνδιος, ist offenbar die einzige vernünftige Erklärung, welche möglich erscheint sie liegt in einem Schol. B V zu vs. 364 vor, ὡς δ' ὅτ ': ὡς ἐξ εὐδίας ἐπιταράσσεται ὁ οὐρανός, οὕτως ταραχὴ γέγονε τῶν Τρώων, und ausführlicher bei Eustath. zu vs. 364 u. 365 p. 1064, 30 sqq. Daß diese Erklärung auch Aristarchs Erklärung war, kann kaum zweifelhaft erscheinen, sobald man Iliad. 13, 493 und daselbst Scholl. Aristonic. vergleicht (abgedruckt s. v. βοτάνη). Iliad. 13, 493 war offenbar deshalb von Aristarch mit einer Diple notirt, um als Beweisstelle für die Erklärung von Iliad. 16, 365 zu dienen. Da dies in dem ohne Zweifel nicht vollständig erhaltenen Scholium des Aristonicus nicht ausdrücklich gesagt wird, so hat Lehrs Aristarch. p. 172 sqq die Stelle Iliad. 13, 493 mit ihrem Aristoniceischen Scholium und dessen Verhältniß zu Iliad. 16, 365 nicht berücksichtigt. Gegen die richtige Erklärung von 16, 365 mußte er schon deshalb eingenommen sein, weil nicht der codex A, aber die Scholl. B V und Eustathius sie bieten, gegen welche beide Quellen Lehrs bekanntlich ein viel zu weit gehendes Mißtrauen hegt. So erklärt denn Lehrs l. c. die Erklärung »ex coelo sereno« für falsch (»Quod falsum est.«), verzweifelt an der Erklärung der Stelle (»nec hodie solvit quisquam hanc quaestionem nec solvet olim«), behauptet, auch Aristarch habe an der Erklärung der Stelle verzweifelt (»Mansit locus in insolubilibus«) und vermuthet, statt αἰϑέρος ἐκ δίης habe Homer vielleicht gesagt αἰγίδος ἐκ δίης. Sodann p. 174 sagt Lehrs ganz richtig, wenn der αἰ. ϑήρ von keinen Wolken verdeckt werde, seien die Menschen bei Homer ὑπ' αἰϑέρι. » Quae hinc efficitur claritas ea est αἴϑρη. Hinc Aiax lovem implorans precatur (Ρ, 646) ποίησον αἴϑρην. Non poterat ποίησον αἰϑέρα, hunc enim non facit Iuppiter, sed ab initio in coelo extensus est atque extensus erit in aeternum; et sie possunt quidem, ut ad nostrum locum respiciamus, nubila colligi ἐξ αἴϑρης, non ἐξ αἰϑέρος.« Hierbei läßt Lehrs den Zusatz δίης 16, 365 ganz außer Acht; Homer sagt nicht bloß ἐξ αἰϑέρος, sondern αἰϑέρος ἐκ δίης. Ajax würde allerdings Iliad. 17, 646 nicht beten können ποίησον αἰϑέρα, aber er würde beten können ποίησον δῖαν (τὴν) αἰϑέρα; denn αἰϑήρ δῖα ist eben grade so viel wie αἴϑρη, oder wie αἰ. ϑὴρ ἀνέφελος, welchen letzteren Ausdruck, Lesart des Rhianus Odyss. 6, 44 statt αἴϑρη ἀνέφελος, Lehrs in der Anmerkung auf S. 174 als für Homer unbedenklich anerkennt. Lehrs hat nicht gesehen, daß Iliad. 16, 365 δῖος in seiner ursprünglichsten physischen Bedeutung gebraucht ist, hat ihm vielmehr die gewöhnlich angenommene Bedeutung gegeben und es als gleichgültiges, schmückendes Epitheton bei der Erklärung seitwärts liegen lassen. Friedländer in der Ausgabe des Aristonicus verweis't bei Iliad. 16, 365 lediglich auf Lehrs Auseinandersetzung und bemerkt bei Iliad. 13, 493 Nichts. Ueber die Bedeutung des οὐρανός Iliad. 16, 364 s. s. v. οὐρανός. Seine ursprünglichste physische Bedeutung hat δῖος auch Odyss. 19, 540 ὁ δ' ἐς αἰϑέρα δῖαν ἀέρϑη, »er hob sich in den klaren (heiteren, lichten, strahlenden, von Wolken nicht verhüllten) Aether«. Auch dem Ausdrucke ἠὼς δῖα liegt wohl unzweifelhaft eine rein physische Vorstellung zu Grunde: die am klaren Himmel erscheinende Morgenröthe. Flüsse haben bei Homer das Epitheton δῖος (s. oben) wohl in demselben Sinne, in welchem sie bei ihm das Epitheton διιπετής haben: das vom Himmel herabkommende Regenwasser nährt die Quellen der irdischen Gewässer. Also auch hier eine physische Vorstellung. – Sittliche Nebenbedtg ist dem Worte in manchen Stellen wohl nicht abzusprechen. Iliad. 6, 160 las man statt δὶ' Ἄντεια im Alterthume in einem Worte Διάντεια als Eigennamen der Gattinn des Prötos, weil das dort von dieser Berichtete in sittlicher Beziehung sie des Epithetons δῖα unwürdig mache, s. Scholl. Herodian. A und B L. Aristarch las getrennt δὶ' Ἄντεια, Scholl. Aristonic. Ἄντεια: ἡ διπλῆ, ὅτι Ὅμηρος Ἄντειαν, οἱ δὲ νεώτεροι Σϑενέβοιαν, καὶ ὅτι ἀκαίρως τὸ δῖα· μάχεται γὰρ ἡ μάχλος. Herodian vergleicht Odyss. 3, 266 δῖα Κλυταιμνήστρη. – An Athetese von Iliad. 6, 160 hat Aristarch nicht gedacht, wie aus dem Scholium des Aristoniens erhellt. Ἀκαίρως, wie Iliad. 6, 160, schien dem Aristarch δῖος auch Iliad. 3, 852 und 7, 75 gebraucht zu sein. An letzterer Stelle nennt Hector sich selbst δῖον, δεῠρ' ἴτω ἐκ πάντων πρόμος ἔμμεναι Ἕκτορι δίῳ; an ersterer Stelle nennt Menelaos seinen Feind Paris δῖον Ἀλέξανδρον. Diesen Vers, Iliad. 3, 352, erklärte Aristarch für unächt, Scholl. Aristonic. ἀϑετεῖται, ὅτι οὐκ ἀναγκαίως ἐπιλέγεται· καὶ γὰρ ὁ καιρὸς τὸ σύντομον ἔχειν ϑέλει. καὶ δῖον ἀκαίρως ὁ Μενέλαος τὸν ἐχϑρὸν λέγει. Dagegen Iliad. 7, 75 hielt Aristarch für ächt, Scholl. Aristonic. ἡ διπλῆ, ὅτι ἰδίως ὡς περὶ ἑτέρου· καὶ ὅτι πρόμον τὸν πρόμαχον κατὰ συγκοπήν· καὶ ὅτι ἀκαίρως δῖον ἑαυτὸν ὁ Ἕκτωρ. Der Unterschied in der Behandlung dieser Stellen erklärt sich nicht aus dem von Friedländer angenommnen Gesichtspuncte, daß zu einer Athetese das ἀκαίρως gebrauchte δῖος allein nicht Grund genug geboten habe, und daß noch andere Gründe hätten hinzukommen müssen. Aristarch wurde vielmehr durch den Umstand bestimmt, daß der Vers Iliad. 3, 352 sich ohne Störung des Zusammenhangs beseitigen läßt, während die Entfernung von Iliad. 6, 160 und 7, 75 den Zusammenhang aufheben würde. Ließen sich diese Stellen 7, 75 und 6, 160 spurlos beseitigen wie 3, 352, so würden sie so gut wie 3, 352 wegen des ἀκαίρως gebrauchten δῖος für unächt erklärt worden sein, mochten andre Bedenken hinzukommen oder nicht. Anstößige Stellen traf Aristarchs Athetese nur wenn sie für den Zusammenhang entbehrlich waren; im anderen Falle begnügte Aristarch sich, das Bedenkliche mit einer Diple als ungelös'tes Problem zu notiren oder gradezu als fehlerhaft, als ein Versehn Homers, den Aristarch nicht allzu selten ganz offen tadelte. Aber den Zusammenhang opferte Aristarch unter keinen Umständen. Man vgl. über dies auch von Lehrs nicht erkannte kritische Princip Aristarchs und seine Bedeutsamkeit für unsere Homerkritik Sengebusch Recension von Lauers Gesch. der homer. Poesie Jahns Jahrbb. 1853 Bd. 67 Heft 6 S. 624–628. – Bemerkenswerth sind ein Paar Stellen, wo Homer den in eigner Person (nicht etwa in einer Verwandlung als Mensch) redenden Zeus selbst das Wort δῖος gebrauchen läßt: Iliad. 15, 67 sagt Zeus υἱὸν ἐμὸν Σαρπηδόνα δῖον und vs. 68 δῐος Ἀχιλλεύς; diese Stelle hielt Aristarch mit ihrer ganzen Umgebung für unächt, s. Scholl. Aristonic. vs. 56. Aber für ächt hielt Aristarch Iliad. 15, 15 und 15, 161; an letzterer Stelle sagt Zeus ἅλα δῖαν, Scholl. Aristonic. ἡ διπλῆ, ὅτι ἀφ' ἑαυτοῦ Ζεὺς τὴν ϑάλασσαν δῖαν εἴρηκεν; Iliad. 15, 15 sagt Zeus Ἕκτο ρα δῖον, Scholl. Aristonic. ἡ διπλῆ, ὅτι ἀφ' ἑαυτοῠ ὁ Ζεὺς δῐον τὸν Ἕκτορα καὶ ἑξῆς τὴν ϑάλασσαν, »ἢ εἰς ἅλα δῖαν (vs. 161)«. πρὸς τὸ μὴ ὑποπτεύειν τὰ ἐν Ὀδυσσείᾳ (1, 65) » πῶς ἂν ἔπειτ' Ὀδυσῆος ἐγὼ ϑείοιο λαϑοίμην«. Hierin hat Aristarch ganz Recht: man darf Odyss. 1, 65 so wenig für unächt halten, wie Iliad. 15, 15 und 161. Aber wir müssen auf unserem heutigen Standpuncte noch weiter gehen. Die beiden Stellen Iliad. 15, 15 und 161 gehören Lachmann's dreizehntem Liede an, dessen Dichter nach Lachmann's treffendem Ausdrucke (Betrachtungen über Homers Ilias S. 55) »so viel mit göttern kramt«; die Verse Iliad. 15, 56–77, wo vs. 67 Zeus Σαρπηδόνα δῖον sagt und vs. 68 δῐος Ἀχιλλεύς, sind nach Lachmann S. 54 entweder, was wahrscheinlicher sei, ein ursprünglicher Theil desselben dreizehnten Liedes, oder doch eine alte, grade für dies einzelne Lied und in dessen Weise gedichtete Interpolation. Durch Zeus selber also dem Meere und Heroen das Epitheton δῐος geben zu lassen, gehört zu den besonderen Leistungen dieses »so viel mit göttern kramenden« Dichters. Was aber Odyss. 1, 65 betrifft, wo Zeus den Odysseus ϑεῖος nennt, so ist der Vers, in dem dies geschicht, πῶς ἂν ἔπειτ' Ὀδυσῆος ἐγὼ ϑείοιο λαϑοίμην, nicht von einem Interpolator, aber vom Dichter des ersten Buches der Odyssee selber wörtlich aus dem neunten Lachmannschen Liede der Ilias entlehnt, 10, 243, wo diesen Vers mit seinem Ὀδυσῆος ϑείοιο nicht Zeus, sondern der Mensch Diomedes spricht. Der Dichter des ersten Buches der Odyssee hat hier also gedankenlos entlehnt, was ihm auch sonst mehrfach begegnet ist. Aber ohne Zweifel mit Bewußtsein und Absichtläßt der »so viel mit göttern kramende« Dichter des dreizehnten Liedes der Ilias den Zeus Iliad. 15, 25, in derselben Rede, in welcher Hektor δῖος heißt, den Herakles ϑεῖος nennen, ἐμὲ δ' οὐδ' ὧς ϑυμὸν ἀνίει ἀζηχὴς ὀδύνη Ἡρακλῆος ϑείοιο. – ϑεῖος »göttlich« und δῖος »himmlisch« treten bei Homer einige Male neben einander als var. lect. auf; z. B. Odyss. 8, 87. 539 Bekk. ϑεῖος ἀοιδός, var. lect. δῖος ἀοιδός; Odyss. 16, 1 Bekk. δῖος ὑφορβός, var. lect. ϑεῖος ὑφορβός; Iliad. 23, 689 Bekk. δῖος Ἐπειός, var. lect. ϑεῖος Ἐπειός. – Hesiod. Th. 260 δίη nominat. sing. fem., καὶ Ψαμάϑη, χαρίεσσα δέμας, δίη τε Μενίππη; Th. 991 von einem männlichen Gotte δαίμονα δῐον; Th. 697 ἠέρα δῖαν; frgm. Aegim. 2 ap. Steph. Byz. s. v. Ἀβαντίς (ed. 2. Goettling. p. 252 frgm. no 3) νήσῳ ἐν Ἁβαντίδι δίῃ; frgm. ap. Schol. Iliad. 2, 764 (ed. 2. Goettling. p. 275 frgm. no 100) ποδωκὴς δῖ' Ἀταλάντη; Op. 299 ἐργάζευ, Πέρση, δῐον γένος, oder Δῖον γένος mit großem Δ = Sohn des Dios, erinnert an Hom. Iliad. 9, 538 δῖον γένος, ἰοχέαιρα; Th. 376. 969. 1004. 1017 Scut. 338 δῖα ϑεάων; Th. 866 χϑονὶ δίῃ; Op. 479 Scut. 287 χϑόνα δῖαν; Cert. ed. 2. Goettl. p. 321, 24 Ἕκτορα δῐον. – Sapphon. frgm. ap. Hermog. Rhet. Gr. ed. Walz 3 p. 317 Eustath. Iliad. p. 9, 41 (Bergk P. L. G. ed. 2 p. 677 frgm. 45) χέλυ δῖα, Anrede an die Lyra. – Pindar. Pyth. 7, 11 Πυϑῶνι δίᾳ; Isthm. 8, 22 δῖον Αἰακόν. Aeschyl. nennt Suppl. 646 den Zeus selbst δῖον πράκτορά τε σκοπόν, »den himmlischen und rächenden Wächter«, πράκτορα adjectivisch; Prom. 88 ὦ δῖος αἰϑήρ ; Suppl. 967 δῖε Πελασγῶν; accusat. sing. fem. δίαν: Suppl. 1058 φρένα δίαν, Sinn des Zeus; Pers. 271 μάταν τὰ πολλὰ βέλεα παμμιγῆ γᾶς ἀπ' Ἀσίδος ἦλϑ' ἐπ' αἶαν δίαν Ἑλλάδα χώραν, für δίαν var. lect. δᾴαν; Suppl. 5 δίαν χϑόνα, Aegypten; öfters δῖον neutr.: Suppl. 558 δῖον ἄλσος, Aegypten; Suppl. 580 ἕρμα δῖον, ein von Zeus erzeugtes Kind im Mutterleibe; Prom. 654 τὸ δῖον ὄμμα, Auge des Zeus; Prom. 1033 στόμα τὸ δῖον, Mund des Zeus; Prom. 619 βούλευμα τὸ δῖον, Rathschluß des Zeus; δῐος πόρτις Suppl. 313 und δῐον πόρτιν Suppl. 42 = Epaphos. – Sophocl. Phil. 344 δῖος Ὀδυσσεύς; Aj. 757. 771 δίας Ἀϑάνας. Euripid. gebraucht δῖος als adject. zweier End. Bacch. 598 φλόγα δίου βροντᾶς, Donnerschlag des Zeus; nominat. und vocat. sing. fem. δία: Iph. T. 404 ἔνϑα κούρα δία τέγγει βωμοὺς καὶ περικίονας ναῶν αἷμα βρότειον; Rhes. 226 Ἄπολλον, ὦ δία κεφαλά, μόλε τοξήρης; in diesen beiden Stellen ist die Länge des α sicher, außerdem aber giebt es bei den Tragikern keine Stelle, in welcher die Quantität des α im nominat. vocat. sing. fem. δια oder im accusat. διαν unzweifelhaft feststände, s. W. Dindorf zu Rhes. 226; dativ. plural.: Ion. 922 δίοισι καρποῖς, des Zeus; Hel. 1093 δίοισιν λέκτροις, des Zeus; accusat. plural.: Bacch. 245 δίους γάμους, des Zeus; Hel. 2 δίας ψακάδος, Regen, vgl. das Homerische Διὸς ὄμβρος; Hippol. 228 δέσποινα δΐας Ἄρτεμι Λίμνας, wohl entschieden falsche Lesart für δέσποιν' ἁλίας; Hecub. 461 ὠδῖνος δίας, der vom Zeus geschwängerten Leto; Heraclid. 1031 δίας παρϑένου Παλληνίδος, Athene; vs. 850 Παλληνίδος δίας Ἀϑάνας; Cycl. 294 δίας Ἀϑάνας; Phoen. 666 δίας ἀμάτορος Παλλάδος; Ion. 200 δίῳ παιδί und vs. 1144 δίου παιδός = Herakles; Bacch. 8 und Alcest. 5 δίου πυρός, Blitzstrahl des Zeus. Man unterscheidet bei den Tragg. Stellen, wo δῖος = »jovialis« sei, und Stellen, wo es = »divinus« sei; letztere schreibt man mit kleinem, erstere mit großem Δ. Aber diese Unterscheidung dürfte sich schwerlich halten und scharf durchführen lassen. Möglich ist die Beziehung auf den persönlichen Zeus bei den Tragg. überall; an den meisten Stellen ist sie unzweifelhaft. – Die Attische Prosa vermied das Wort δῖος; bei Xenoph. z. B. scheint es gar nicht vorzukommen, bei Plat. nur in ein Paar Citaten aus Homer, Rep. 2 p. 379 d (Hom. Iliad. 24, 532 χϑόνα δῖαν), Hipp. min. 371 c (Hom. Iliad. 9, 651 Ἕκτορα δῖον). Das uncontrahirte δίιος scheint Plat. Phaedr. 252 e gebraucht zu haben, οἱ μὲν δὴ οὖν Διὸς δίιόν τινα εἶναι ζητοῠσι τὴν ψυχὴν τὸν ὑφ' αὑτῶν ἐρώμενον, var. lect. δῐόν. – Bei Aristophan. Equit. 1271 Πυϑῶνι ἐν δίᾳ, wohl Anspielung auf Pindar, s. oben, vgl. Scholl. Aristoph. – Auch Herodot. scheint δῖος nicht gebraucht zu haben. Dagegen ϑεῖος ist bei Herodot und in Attischer Prosa beliebt. – Superlat. bei Hesych. s. v. Δῖα ϑεάων und Tzetz. Exeges. p. 87, 4, διοτάτη als Erklärung von δῖα ϑεάων und δῖα γυναικῶν.

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  • 18 ἔν-δῑος

    ἔν-δῑος, ον (Ζεύς, Διός, sub dio), 1) mittäglich, zur Mittagszeit; ἔνδιος ἦλϑεν, er kam um Mittag, Od. 4, 450 (auf 400 bezüglich, wo es heißt ἦμος δ' ἠέλιος μέσον οὐρανὸν ἀμφιβεβήκει); vgl. Il. 11, 726; ἐς ἔνδιον, gegen Mittag, Ap. Rh. 1, 603, vgl. 4, 1312 ἔνδιον ἦμαρ ἔην, περὶ δ' ὀξύταται ϑέρον αὐγαὶ ἠελίου Λιβύην, Myrin. 3 (VII, 703). – 2) im Freien, unter freiem Himmel, wie auch Myrin. 3 erkl. werden kann; ἀκρέμονες Antiphil. 12 (IX, 71); ποιμένες Theocr. 16, 95. Auch vom Himmel, Arat. 498; ὕδωρ, das vom Himmel fallende Wasser, Regen, id. 954. [Ap. Rh. u. Anth. ι kurz].

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  • 19 coquo

    coquo, coxī, coctum, ere (aus *quequo, altind. pácati, kocht, bäckt, brät; vgl. griech. πέσσω, koche, verdaue; πέπων reif, πόπανον, Gebäck), kochen = durch Feuer zubereiten, unser kochen, sieden, backen, brennen, dörren, schmelzen, zeitigen, reifen, I) eig.: A) tr.: 1) kochen, sieden, backen, is, quiilla coxerat, Cic.: c. cibaria (Brot), Liv. (so auch cibaria cocta, cibaria in quinque dies cocta, quindecirm dierum cibaria cocta, Liv.; vgl. Drak. Liv. 44, 32, 11): cibum, Varro (so auch cibus coctus, Sall.): vasa coquendis cibis utilia, Plin.: cochleam od. cochleas, Cels. u. Varro: cenam, Komik.: alci cenam, Plaut. u. Nep. (vgl. die quinti in Capitolio tibi cena cocta erit, Cato fr.): humana exta. Hor.: medicamenta, Liv.: alcis obsonia, gar kochen (scherzh. = faul machen, vom heißen Schirokko), Hor.: ova columbina, Cels.: panem, Varro fr. u. Plin.: pavonem, Hor.: venena, Liv.: caro cocta (Ggstz. caro salsa), Apic. 1. § 8 u. 10: lupinus coctus (Ggstz. crudus), Edict. Diocl. – c. alqd bene, leniter, leviter, modice, recte, Cels.: alqd sic, ut etc., Cels.: simul coquuntur mel, galbanum, resina etc., Cels.: alqd eodem modo, Cels.: alqd pluribus modis, Plin.: alqd ad carbones leniter paululum, Veget. mul.: alqd clementer, Ser. Samm.: alqd lente, Plin.: alqd igni leni od. lento, Cato u. Plin.: alqd lentis vaporibus, Hier.: c. alqd bis, Cels.: denuo, Cato:
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    de integro, Col.: c. cibos turis ligno, Plin. – c. alqd in tecto, sub dio, Cato: c. liba in subito foco, Ov.: alqd carbonibus, Plin.: alqd in olla od. in aeneo vase, Plin. u. Cels.: multifariam in patellis cepe, Varro fr.: vitulus aëno coctus, Petron. – m. Angabe womit? (= mit welchem Stoffe zusammen?) durch cum u. Abl., od. m. Ang. worin? (= in welchem Stoffe?) durch in od. ex u. Abl., alqd cum aqua, in od. ex aqua, Cels.: alqd ex oleo, ex lacte, Cels.: gemmam in lacte, Plin.: alqd cum vino, in od. ex vino, Cels. – m. Angabe woraus? durch ex u. Abl. od. durch bl. Abl., picem liquidam e taeda, Plin.: alqd tostā polentā, Ov. – m. Ang. bis zu welchem Grade? alqd usque ad mellis crassitudinem, Plin.: tres heminas ad unam, Cels.: c. alqd usque eo, donec etc., Cels.: c. alqd, donec etc., Cels. – absol., ire coctum, Plaut.: coquendo sit faxo, Ter.: difficilis in coquendo cyma, Plin.: vas ad coquendum, ICt. – Partic. Perf. subst., a) coctum, ī, n. u. Plur. cocta ōrum, n., Gekochtes, = gekochte Speisen (Ggstz. crudum, cruda), quid tu, malum, curas utrum crudumque an coctum edim, Plaut. aul. 430: ne quid in popinis cocti praeter legumina aut olera veniret, Suet. Ner. 16, 2: cocta vendere, Suet. Claud. 38, 2. – b) cocta, ae, f., α) ein abgekochter Trank, ein Kräutertrank, Mart. 2, 85, 1. – β) gekochtes Fleisch, Apic. 1, 9. – 2) kochen = kochend machen, zum höchsten Hitzegrad bringen, v. der Sonne, iam non solum calet unda, sed
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    coquitur, Sidon. ep. 2, 2, 1. – 3) auf dem Rost braten, rösten, als Marter, Lact. de mort. pers. 13, 3; vgl. (zur Sache) 21. § 7 u. 8. – 4) brennen, dörren, schmelzen, calcem, Cato u. Vitr.: carbones, Cato: laterculos, Cato: coctus later, gebrannter Ziegelstein, Backstein (Ggstz. crudus later), Vitr. u. Iustin.; vgl. agger coctus, aus ausgebrannten Ziegelsteinen, Prop. – c. robur, durch Feuer härten, Verg.: ligna cocta (= coctilia u. acapna, w. vgl.), ausgetrocknetes Holz, das keinen Rauch gibt, ICt.: coctus pulvis, Puzzolanerde, Stat. – c. aurum cum plumbo, schmelzen, Plin.: so aera fornacibus, Lucan.: rastra et sarcula, schmieden, Iuven. – u. v. Ausdörren, Austrocknen der Sonne u. des Windes, locus is melior, quem non coquit sol, Varro: coquit glebas aestas matutinis solibus, Verg.: rosaria cocta matutino noto, Prop. – 5) (wie πεπαίνω) zur Reife bringen, reifen, zeitigen, von der Sonne usw., eas (arbores) aequabiliter ex omnibus partibus sol ac luna coquunt; quo fit, ut uvae et oleae plures nascantur et ut celerius coquantur, Varro: cum frumentum aestas et debita maturitas coxit, Sen.: fructus (fici) solibus coctus, Plin.: et alte mitis in apricis coquitur vindemia saxis, Verg.: poma matura et cocta, Cic. – 6) in Gährung bringen, zersetzen, v. äußerer Wärme, balineae ardentes, quibus persuasere in corporibus cibos coqui, Plin. 29, 26. – von der organischen Wärme des Körpers, calore et spiritu
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    omnia cocta et confecta, Cic. de nat. deor. 2, 136; vgl. 2, 137. Lact. de opif. dei 14, 5. – B) intr. kochen = gekocht werden, aqua, ubi radix eius coxerit, Dynamid. 1, 21; u. so ibid. 1, 49; 2, 90 u. 106. – II) übtr.: 1) gleichsam etw. brauen, etw., ersinnen, über etw. brüten, auf etw. sinnen, consilia secreto ab aliis, Liv.: bellum, Liv. – 2) jmd. (jmds. Herz, Busen) schmerzlich ängstigen, abhärmen, quae (cura) nunc te coquit et versat in pectore fixa, Enn. ann. 336: femineae ardentem curaeque iraeque coquebant, Verg. Aen. 7, 345: nec (sollicitudo) oratorem macerat et coquit, Quint. 12, 10, 77. – egomet me coquo (mache mir den Kopf warm) et macero et defetigo, Plaut. trin. 225. – 3) Partiz. Perf. im Kompar. m. Genet., hodie iuris coctiores (im R. geriebener) non sunt, quam qui lites creant, Plaut. Poen. 586 sq. – in guten Handschriften auch quoquo, zB. quoquat, Hor. de art. poët. 186 K. u. M. – coco, wov. cocuntur, Suet. Aug. 87, 1.

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  • 20 subdialis

    subdīālis, e (v. sub dio), unter freiem Himmel befindlich, inambulationes, Plin. 14, 11: petrae, Plin. 34, 117. – subst., subdīāle, is, n., der Altan, Plur. subdialia, Plin. 36, 186. – Andere Form subdīvālis, e, Amm. 19, 11, 4. Th. Prisc. 1, 2. Cassian. coll. 19, 1 u. 24, 2. – u. subst., subdīval, ālis, n., der Altan, Itala Ezech. 9, 3 (b. Tert. adv. Iud. 11); vgl. Gloss. III, 365, 46 ›subdival, παιθρον‹. – Über die Länge des i in subdialis s. Lachm. zu Lucr. p. 227.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > subdialis

См. также в других словарях:

  • Sub dio — (sub divo, sub Jove, lat.), unter freiem Himmel …   Pierer's Universal-Lexikon

  • Sub divo — (sub dio, sub Jove, lat.), unter freiem Himmel …   Meyers Großes Konversations-Lexikon

  • Sub divo — Sub divo, sub dio, sub Jove, lat., unter freiem Himmel …   Herders Conversations-Lexikon

  • Dio [2] — Dio (lat.), s. Sub dio …   Pierer's Universal-Lexikon

  • Sub divo — Sub divo, so v.w. Sub dio …   Pierer's Universal-Lexikon

  • Sub Jove — Sub Jove, so v.w. Sub Dio …   Pierer's Universal-Lexikon

  • Sub divo — (sub dio, lat.), unter freiem Himmel …   Kleines Konversations-Lexikon

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